Simple graphiste, désireuse de faire de belles images, de donner un écrin juste aux mots et aux maux, dessine aussi un peu.
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En France aussi on laisse pourrir (mourir ?) ses patients en psychiatrie
Article qui s'écrit progressivement, à mesure de mon courage et de mon évolution, sur ma courte expérience dans une unité de soins psychiatriques au sein de l'hôpital public d'Arras L'univers carcéral tout aussi délaissé a-t-il grand chose à lui envier ? Hommage au personnel qui se démène malgré toutes les coupes.
Simple graphiste, désireuse de faire de belles images, de donner un écrin juste aux mots et aux maux, dessine aussi un peu.
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Nous commencerons l'article de manière "tunnélaire". Ou la thérapie par le couloir. Car l'expérience physique, architecturale même si je puis dire que j'ai vécue, c'est celle du soin par le couloir, non par volonté du personnel mais par l'abandon financier du gouvernement.
Finalement il y a-t-il des pages à écrire ? Ne peut-on pas que réduire le propos à celui de la réduction des coûts. Rationaliser, tout en commençant par ceux "qui ne sont rien". Créer une société oppressante pour les petits, une société où les gens vont mal car on les pressurise à mort pour le confort des quelques grands. Causes et conséquences, puis laissons les finir dans des prisons, des mouroirs qui ne disent pas leur nom en attendant. la prochain fournée. Je me répète car j'espère.
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