Autant "l'identité nationale" me heurte, autant j'aime la langue française et sa mystérieuse imprécision.
 Avec d'autres, bien sûr, je m'abandonne
Mais leur chanson est monotone..." *
 Je m'abandonne" ... Tout ce qu'on peut en dire !
(Et c'est ainsi que cette langue s'enrichit de ce que d'aucuns nomment du verbiage ou bavardage, et qui est en fait une musculation : tout ce que l'on peut dire de ce "je" qui s'abandonne lui-même avec d'autres.)
*"La chanson de Prévert", bien sûr, de Lucien Ginsburg (Prévert et Cosma, je croîs).