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Billet de blog 15 avril 2012

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"Destins impénétrables"

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"Rois secoués par la folie

Et ces grelottantes étoiles

De fausses femmes dans vos lits"...

   Cette chanson je la chantais sans cesse, de mémoire vacillante, au gré des vents mauvais, ce n'était qu'une chanson et je n'étais pas sûr de ne pas la recréer, ainsi : "Voie Lactée, ô sœur lumineuse des blancs ruisseaux de Canaan"

et n'étant ni Guillaume Apollinaire ni Léo Ferré, mais, d'ailleurs, Personne d'autre que cette chanson quand, t'en souviens-tu, je la chantais dans les rues de Toulouse, sur les bords de la Garonne, quand les sommets des Pyrénées, là-bas, au loin, se faisaient brillants de neige sous le soleil venteux de mars, L., pour Luitpold, peut-être, pour Lucile, ou pour cette cafetière rouge, en tôle émaillée, rouge, posée sur une planche, et qui nous servait de point de ralliement, le temps s'en est allé et

"dans les cours/les chats miaulent".

J'étais la recréation, comme tu l'étais aussi, du monde le tien, où es-tu ? Maintenant.

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