31/08/17
Ouf !.......pour nos cons patriotes c’est un immense soupir de soulagement. En effet tout s’éclaircit et les questions qu’ils se posaient ont trouvé des réponses qui ne se discutent plus. Après un trimestre de dictature le « parti du bien » , assez hétéroclite, fait le constat que ses prédictions , bien qu’alarmistes, n’étaient pas à la hauteur de la catastrophe qui se dessine. Chez nos concitoyens une évidence se fait jour. Après avoir endormi les électeurs par des procédés qui relèvent de l’hypnose Macron , bien que minoritaire donc illégitime, c’est installé à l’Elysée . Ceci , au passage, avec un chien qui , bien évidemment ,ne respectera pas les tentures et pissera sur les tapisseries des Gobelins ….et comme toujours ce sera le peuple qui fera face aux dégâts. Macron , chacun s’en rend compte aujourd’hui , s’il n’est pas fou à lier, présente des symptômes inquiétants qui font tonner les voix de la raison.
Par exemple ; G.Filloche ,qui a le sens de la mesure a déclaré « c’est le pire gouvernement depuis 1945 » . Seule sa timidité lui a imposé une certaine retenue car il aurait très bien pu faire référence à Clovis. Des syndicats , parfaitement crédibles , appellent à la grève avant de connaître les textes qu’ils auront à négocier. L’anticipation est une participation. Il faut être vigilants et , grâce à dieu, certains le sont afin de sortir le peuple de sa léthargie. Il y a une multitude de critiques , voir de révolutionnaires , venant de tous bords, qui s’associe de fait, pour faire barrage aux lubies des Macronistes ,ces valets du « banquier » ( on est banquier à vie comme le sont les mongoliens ou les albinos) . Devant certains délires comme le projet de créer des classes de 12 élèves dans quelques quartiers il y a eu, heureusement et dans l’immédiat, des voix pour réclamer des classes surchargées car « plus vivantes ». La question des évaluations au CP ayant été avancée des ex-paires ont aussitôt mis l’accent sur le stress que cela ferait subir aux enfants et à leurs parents. Vlan ! Une réflexion sur la durée des vacances a causé une réaction qui pourrait aller jusqu'à la mise à feu et à sang de nos territoires. La prétention de Macron de revoir le fonctionnement de nos 36 caisses de retraite pourrait amener une série de suicides par le feu. Le coup d’état social en cours prétendait à alléger le code du travail. C’est délirant …en réalité il suffirait de doter chaque délégué du personnel d’une brouette pour transporter le Code sur les lieux des conflits.( je peux me permettre ce genre de suggestion ayant été moi-même responsable syndical) . Toute l’Europe lève ses impôts à la source . En France c’est impossible …à cause de la sensibilité particulière de nos cons patriotes. Macron a eu tort de dire que les Français n’aimaient pas les réformes mais il semblerait quand même qu’ils manquent d’enthousiasme devant le changement. Les exemples prouvant la fragilité intellectuelle de Macron pullulent mais heureusement, des forces nouvelles font barrage au désastre qui se dessine . Mr Kalfon , un rescapé du PS, autrement dit du radeau de la Méduse , est à fond de cale , mais crie sa révolte et en appelle au peuple. A l’extrême droite on vole au secours du luppen prolétariat . A l’extrême gauche , après avoir dénoncé le coup d’état social on s’apprête à refaire le circuit Marseille –Paris par la route Napoléon en vue de reprendre la Bastille. La droite , en pleine décomposition, commence à sentir mais est prête à suivre un nouveau leader . Fillon s’étant reconverti dans la finance plusieurs candidats , toute honte bue, sont prêts à faire don de leur personne afin de remettre en ordre les gravats des REPS . Wauquiez , l’inventeur de l’assistanat, est favori , grâce à dieu . Fasquelle , dit « sœur sourire » est disponible et Mne Portelli rêve , elle aussi, de prendre la barre du bateau pourri , dans tous les sens du terme. Elle est à peine plus vulgaire que N. Morano , car à l’impossible nul n’est tenu . Il serait regrettable qu’elle ne décroche pas la queue du Myckey car les occasions de rigoler sont assez rares à notre époque.