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Billet de blog 8 octobre 2008

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Une semaine sans écrire une ligne...

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Je me suis fait violence de ne point écrire un quelconque billet depuis le dernier, voici huit jours. J’ai vécu l’enfer de ne point livrer mes états d’âmes à mes amis de Mediapart. C’est une drogue, vous dis-je, une accoutumance dont je suis l’une des victimes consentantes, presque à l’insu de… depuis le printemps.

Malgré ce sevrage, je n’ai pu résister à livrer quelques commentaires par-ci, par-là, aux billets qui avaient retenu distraitement mon attention. Le commentaire à ceci de particulier qu’il est une réaction immédiate, franche, sincère, critique, un cri du cœur ou de l’esprit, un mot d’humour ou d’humeur. Souvent, il engendre une polémique, un débat d'idées constructifs ou bêtement des fadaises, des échanges personnels, hélas, sans intérêts pour les lecteurs.

Honnêtement, il y a trop à lire, trop à découvrir dans le Journal et dans le Club. Une journée… n’y suffit pas. Donc, j’enregistre, je sauvegarde, je classe, j’archive pour demain, pour après-demain, pour mes vieux jours en oubliant qu’ils sont déjà là, omniprésents.

Une semaine sans écrire une ligne, c’est du temps gagné pour lire ce qu’écrivent les journalistes, mais aussi mes amis et des collègues inconnus. Et je puis vous dire que c’est une sacrée leçon de modestie de découvrir qu’ils sont meilleurs que je ne le suis.

Demain, peut-être, ou dans une semaine… je vous livrerai la raison de cette absence…

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