L’homme par nature n’est pas de gauche. S’il le prétend, c’est la conséquence de l’histoire, du bourrage de crâne, il est de gauche par défaut.
Auparavant, à l’époque de la royauté, de la noblesse, il n’y avait ni droite, ni gauche mais la plèbe, les serfs soumis et corvéables à merci.
Après le siècle des Lumières, de la Révolution française de cet espoir d’une vie meilleure, le citoyen, cet inconséquent, a viré sa cuti en accordant successivement sa confiance à un empereur, à des rois, à des colonisateurs et à un maréchal félon.
Aujourd’hui, de part le monde, les milliards de crève la faim ne sont pas de gauche, comme on l’entend en occident, mais les victimes de régimes et de dictatures cruelles et anti humanistes.
Tout d’abord, ces peuples doivent lutter pour survivre au propre et au figuré. Il n’est pas nécessaire d’être de gauche pour se rebeller avec des moyens dérisoires aussitôt écrasés dans le sang par l’armement de pays soi-disant socialistes.
Donc, ce n’est pas dans le tempérament de l’homme d’être de gauche, car, une fois sorti de son marigot, il aspire viscéralement à un mieux être matériel dont la droite est l’exemple. Par le progrès social, la consommation, la droite s’auto alimente, se maintient quasi automatiquement, quand elle ne progresse pas.
A quelques pour cent près, l’Assemblée nationale bascule tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, remettant en cause tout programme cohérent et d’avenir. C’est la foire d’empoigne qui déroute les électeurs et favorise l’abstention.
Après l’échec du communisme, le socialisme n’a pas vraiment trouvé sa voie, il est l’objet en son sein de multiples convulsions. Les masses populaires ne lui font plus confiance, elles stagnent dans une pauvreté relative, elles perdent tout espoir de devenir « riches » et se jettent bon gré, mal gré, dans le populisme de droite !