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Billet de blog 19 mars 2013

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HABEMUS TAM-TAM…

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Quel tam-tam pour le papam François !

Quel numéro va-t-on affubler ce pape là ?

Il y a le choix entre le « uno » et le 266.

Ça tergiverse au Vatican au moment de remplir le ticket gagnant.

Au palais, les cardinaux jouent à la marelle.

Attention à ne pas commettre un crime de lèse-majesté avec un roi Capétien, pionnier de la Renaissance, un Bourbon pur malt.

Réveille-toi Grégoire, le premier François, il est d’Assise, celui qui parlait aux oiseaux. A ne pas confondre avec celui qui écoutait les généraux argentins.

D’ailleurs, c’est aussi un rital d’origine, une manière habile de botter en touche comme Maradona.

Au diable les chiffres romains, à la Xème grappa les calottes rouge chantent à tue-tête : il est des nôtres le Francesco !

Quelle idée de franciser son prénom, de le confondre avec le nôtre, l’ancien, celui qui portait la francisque. Ce François là, Dieu en personne, n’avait pas besoin d’un pape pour parler à ses sujets.

Notre François actuel, le vrai, enfin le normal, sans mitre ni auréole, est en pétard avec les chiffres ou l’inverse. De 51 en mai, il est à 31, dix mois plus tard. Comment se soustraire aux pourcentages communiquant, à l’indice de performance ? Un vrai casse-tête ce zéro pointé pour tous les énarques qui l’entourent. De quoi recentrer l’arithmétique avec le Béarnais, un autre François qui rue dans les brancards de son sulky.

Le tam-tam résonne à travers le monde : tous à Rome les gars, les Musulmans, les Juifs, les Hindous, les Calvinistes, les politiques de tous bords y compris les dictateurs, pour fêter la Saint Joseph en grande pompe ! Manque à l’appel son fils, le Palestinien de Nazareth… Au lieu de le citer à tort et à travers, mieux vaudrait le ressusciter !

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.