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Billet de blog 24 mai 2017

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Le terrorisme n’est plus ce qu’il a été

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Depuis le 11 septembre 2001… la stratégie et les moyens considérables mis en œuvre par Al Qaeda, près de 3000 morts à New-York, une deuxième guerre du Golf engagée en représailles avec les conséquences mortelles que l’on sait, le terrorisme à grande échelle est en perte de vitesse.

Certes, il y a eu l’assassinat abjecte des rédacteurs de Charlie Hebdo et des employés du  supermarché kascher, puis la tuerie de centaines de victimes innocentes du Bataclan et du 14 juillet à Nice.

Ensuite, une série d’actes barbares individuels, et  ce qui vient de se passer à Manchester, malgré le nombre de victimes, ne prouvent pas, comme celui de Nice également, qu’il y a derrière ces attentats une action planifiée à grande échelle. Elle est l’œuvre de fous, de tueurs souvent isolés avec parfois l’appui de quelques comparses.

C’est du pain béni pour Daesch qui revendique tous ces actes, sans apporter la preuve formelle de son implication.

L’Etat islamique a instillé la terreur et la radicalité dans des esprits faibles afin de maintenir le monde occidental dans l’insécurité et l’islamophobie. Elle se garde bien de les envoyer de Syrie ou d’Irak, ils sont d’ici, nos voisins.

Les tueurs de l’EI sont exsangues, trop occupés à défendre les territoires qu’ils occupent, Daesch grille ses dernières cartouches. Qu’attend-on pour lui donner le coup de grâce, et celui de Bachar el Assad ? C’est à la racine du mal que nous résoudrons le problème de l’insécurité en Europe. Mais peut-on faire confiance à Poutine et à Trump ?

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