Voilà un petit moment que ça me chatouille : et si Douillet avait eu son second sacre olympique en 2000 au bénéfice d'un heureux concours de circonstance ?
Les spécialiste le savent : sur son Uchi Mata contre Shinini Shihonara, ce dernier contra par Uchi Mata Sukachi! Mais Juges central et de chaise étaient mal placés pour bien le voir (mais que fait la vidéo ? ...). Et commen en politique, il y a toujours une prime au sortant.
A l'époque, j'avais dit à un entraîneur qu'à ce niveau d'enjeux, nul, même pas le judoka vainqueur, ne pouvait confirmer. Un peu comme Thierry Henry qui aurait été voué aux gémonies s'il avait indiqué au Central qu'il avait triché : il est des situations où même le fair play est anti sportif ...
Considérant à l'époque Douillet comme un digne porte drapeau du judo français, dans le droite ligne de ses honorables prédécesseurs (à commencer par ceux qui ouvrirent la voix dans les années 70/80, les Jean Luc Rougé et autres Thierry Ray), je trouve que l'affairiste politique qu'il est devenu le disqualifie définitivement.
Tout récemment, ses attaques répétées contre une femme, Rama Yade, finissent par me donner de l'urticaire, les ongles mous et les bras courts.
Alors voilà : ce malotru mal embouché misogyne caractériel a gagné sa seconde médaille olympique sur un malheureux concours de circonstances emblématique d'un homme doté d'un caractère plus proche de l'opportunisme sans scrupule que d'un grand disciple de l'art du Budo, comme on peut le découvrir ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bud%C5%8D#Bud.C5.8D_et_spiritualit.C3.A9.
S'il devait devenir sous ministre des Sports, alors Patrice de Maistre a toutes ses chances pour avoir soit les Finances, soit le Budget !