Trouvé ce matin, pour illustrer ces notes, chez Aragon:
"Plus tard, quand on voudra situer un homme, une pensée, une découverte, il ne viendra à l'idée de personne de dire: c'était le temps de Loubet, ou de Deschanel, ou de Lebrun...On dira: c'était le temps de Matisse. La Renaissance pour nous, est-ce tel tyranneau, tel pape, ou Michel-Ange? Il y a eu le siècle de Louis XIV, mais il y a le demi-siècle de Matisse".
Ainsi va la valse des noms et des prénoms, des années et des mots. Que nous réserve l'avenir? A madame Irma de le prédire.Il est permis d'inventer pour celui qui s'annonce un lendemain qui chante, offrir à la jeunesse du monde une promesse, à l'aube, qui serait tenue jusqu'à la fin des temps.