Le dimanche ouvre ses bras de soleil et de tendresse à la soirée qui s'annonce.
En écoutant Le Sage et le quatuor Ebène ( dont l'enregistrement, soit dit en passant, demeure disponible chez nos amis du label Alpha) comment ne pas songer à la peinture ancienne de la France, aux voilettes frivoles, aux canotiers qui se fatiguent au balcon d'une guinguette?
Allons, foin de clichés, notre modernité vaut le détour et demain, nous lui donnerons les fleurs qu'elle attend, qu'elle mérite. Aujourd'hui, tandis que le dimanche frissonne, il est des souvenirs à partager. Pour cette aventure, on aime les notes en bruyère de Fauré.