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Billet de blog 13 avril 2012

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Beethoven loue Ciccolini

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Avec un regard canaille et ce masque digne du Caravage, Aldo- puisqu’il est admis de nos jours de le désigner  par son prénom, comme autrefois Tino, Elvis…- apparaît comme un artiste revenu de toutes les aventures. Il offre, en ce printemps, l’une des plus grandes lectures des troisième et quatrième concertos de Beethoven. «Est-ce possible?» Vous interrogez-vous sans doute, incrédules en songeant que de très nombreuses références dorment déjà sur les rayons de votre discothèque. Oui, cela reste possible : jouer juste, avec une intraitable fermeté, laisser surgir au contraire les couleurs les plus chaudes en un trait, faire confidence de ses souffrances... Une merveille.     

Beethoven: "Concertos numéros 3 et 4", Aldo Ciccolini piano, orchestre de Thessaloniki direction Myron Michailidis. Label EMI

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