Monsieur Nicolas de Brabant, élu CGT (rouge), va nous fait entrer dans les coulisses de son vrai métier, et va nous démontrer cette fois en paroles, à travers son exemple, le vrai rôle, des Représentants du personnel de SFR, Centre-Est.
Je tiens à remercier les milliers de personnes qui ont visité mon blogue. Vous avez été très intéressé par les tâches dévolues aux syndicats, chez SFR, une autre forme de syndicalisme et le nouveau rôle joué, par la secrétaire du CHSCT.
Si l’information présente sur mon blogue était fausse, SFR aurait depuis longtemps saisi la justice pour diffamation, au même titre que la blogueuse de www.sfrencolere.fr, qui a subi quatre interrogatoires, à la manière de l'ex-comptable des Bettencourt, Claire Thibout.
Nota : mon accident a eu lieu, il y a 13 ans, j’ai été licencié il y à 7 ans. J’ai été complètement déstabilisé rien n’ai venu faciliter ma reprise au travail. Aujourd’hui, rien n’est stabilisé, j’ai des problèmes de santé après avoir vécu dans le stress pendant trois ans et demi passé chez SFR. Difficile de faire le deuil.
j’ai une maison à l’abandon, mon permis de construire est périmé, le terrain ayant été passé inconstructible. J’étais en justice avec mon adversaire, jusqu’en cassation. Aujourd’hui, en cassation avec SFR. Demain peut être pour retrouver mon droit à construire. Il est difficile d’oublier et de passer l’éponge, aussi facilement et de tout perdre. Difficile, aussi à comprendre quand tout va bien pour soi.v
Quel statut accordé à ces élus, chez SFR, les salariés sont appelés Collaborateurs, monsieur Nicolas de Brabant et madame Hélène Papillon sont aussi des Collaborateurs, mais d’un autre genre.
Apparemment c’était la culture d’entreprise de SFR Centre-Est, au vu des nombreux soutiens à la direction, de tous ces acteurs, relevés dans les Conclusions.
Évidemment, ces mails n’étaient pas destinés à la justice et ce petit jeu malsain pour infiltrer les salariés pour les déstabiliser, n’auraient jamais été découverts. On s’aperçoit, qu’une partie des syndicats de Centre-Est était employée, pour aider à purger et dégraisser à bon compte.
Cela nous éclaire sur cet univers impitoyable de certaines entreprises où la fin justifie les moyens. Le profit au détriment de la santé et où toute contestation est tuée dans l’œuf. Coopérer et vous serez tranquille, sinon partez, et aidez-nous à dégraisser avec une bonne formation à la clé, une bonne prime de départ, tout cela en échange de votre silence.
Jamais je n'aurais pu imaginer que cet élu était un homme versatile, et profiter ainsi de mon handicap pour ce faire une bonne situation, et cette secrétaire pour tirer tranquillement jusqu’à la retraite, belle France avec ce type d’élus.
Cet élu a sauté sur l’opportunité pour avoir une évolution rapide et à peu de frais.
En mai 2006, j’ai fait appel à ses services pour sortir de mon placard, pour reprendre une activité plus dynamique et plus enrichissante dans mon ancien métier.
J’ai été mis en arrêt suite à une visite médicale, le médecin du travail avait décelé une tension anormalement élevée, j’ai donc été arrêté par mon médecin traitant.
Mais cet élu menait de front défense et trahison, il était piloté par le DTR pour me faire partir, à la sortie, il allait être récompensé, voici factuellement le déroulement de cette ignoble trahison.
Je l’ai contacté avant que la médecine du travail me mette en arrêt, le médecin traitant m’a arrêté pour hypertension, que je vais traîner toute ma vie.

A partir de ce moment-là :
- Je lui avais demandé de me sortir de ma prison, pour pouvoir postuler sur un poste dans mon ancien service, six postes étaient à pourvoir.
- Il avait dû demander une formation, mais, en échange la DRH et le DTR lui avaient confié une mission de basse besogne, pour me faire partir. Sinon pas de signature pour partir en formation.
Mais en attendant, je tiens à crier cette injustice par tous les moyens. Je vais donc diffuser des bribes de conversation de cet élu pendant mon arrêt-maladie, causé par mes conditions de travail.
Dans un mail, envoyé à Frank ESSER, et à plus de 350 salariés pour les prévenir du calvaire que je subissais depuis trois ans, depuis que j’étais devenu handicapé. J'avais donné mon sentiment sur les personnes censées m'apporté de l'aide, qui ne trouver jamais de solution.

Mon sentiment a été conforté dans le livre publié par un ancien élu, dans : "SFR Les coulisses d’une machine à cache",
18 JUIN 2014 / VICTOIRE POUR LES EX-SFR ! La Cour de cassation vient de donner raison aux anciens salariés de SFR.
On retrouve dans ce livre le même mode opératoire pour déstabiliser, avec des syndicats corrompus, trahison de certains syndicalistes qui agissent en coulisses pour déstabiliser les salariés, pour mieux les préparer à partir, en colportant des rumeurs, ou autres.
Encouragé par la Direction SFR, par une déstabilisation tous azimuts, la fissure le 23 mai 2007, par deux syndicats minoritaires, CFE-CGC (17 %) et FO (4 %). Un mail a tous les salariés pour leur annoncer que 1 900 de leurs collègues étaient viré. L’intersyndical, a exploser en juillet 2007.
Voici des extraits du livre. Un aperçu du monde syndical chez SFR
« L’entreprise choisit soigneusement ses cibles parmi les membres de l’intersyndicale. Tel un fauve en chasse, SFR ne s’en prend qu’aux plus faibles ; aux membres fragiles et potentiellement corruptibles. »
"C’est ainsi que deux leaders du mouvement sur Toulouse, deux CC qui viennent juste de prendre des mandats de Délégués syndicaux à l’UNSA, une vocation soudaine sans doute !, se retrouvent du jour au lendemain en « vacances forcées ».
« L’UNSA obtint un mandat de DSI sans pour autant en avoir la philosophie, ni les compétentes d’ailleurs. Mais sa personnalité volubile faisait d’elle quelqu’un de sympathique, une bonne copine (…). Elle qui avait porté jusqu’à l’étendard de la révolte sur le site de Lyon devint tout un coup mystérieusement résignée… À l'heure actuelle, cette personne fait toujours partie des effectifs de SFR. La Direction du groupe a acheté sa soumission en lui offrant, à elle aussi, un poste de cadre sur un autre établissement lyonnais qui n’a pas subi l’externalisation. Renseignements pris, on ne l’a jamais vu à ce jour dans ses nouvelles fonctions ! La liste n’est pas exhaustive ! ce ne sont malheureusement que quelques exemples de corruption qui montrent combien SFR n’a reculé devant rien pour parvenir à ces fins. (…) Certains leaders du mouvement ont refusé catégoriquement les offres pourtant alléchantes qui leur étaient faites. Ils n’ont pas voulu, pour leur part, vendre leur âme au diable ».
Et le mail de Frank ESSER, annonçant aux salariés que 25 % de leurs collégues été virés.
Celui-ci, a été encouragé par le gouvernement de l'époque, en se voyant élever, au Grade de Chevalier, le 14 juillet 2007, en plein conflit :
Extraits du mail du 02 juillet 2007, de Frank ESSER (toujours des mots, forts !)
« Je suis attaché au respect des engagements pris, à la parole donnée, au dialogue social et aux avancées qu’il rend possibles. C’est pourquoi je souhaite que tous ensemble, dans une même dynamique de responsabilité, nous puissions travailler pour l’avenir de cette belle entreprise qu’est SFR.
Bien à vous
Frank Esser
Président-directeur Général de SFR »
La corruption, existait déjà, en 2005, 2006, les deux jeunes élus, qui était censé me défendre n’ont pas hésité, l’un CFDT, l’autre CGT (rouge), avaient une petite famille à nourrir, et notre secrétaire du CHCT voulait partir tranquillement à la retraite.
Je rappelle que j'avais été arrêté suite à une visite médicale chez le médecin du travail qui avait décelé une tension artérielle anormalement élevée.

J'avais fait appel à la CGT pour me sortir de mon enfer, avec du matériel obsolète. Aprés m'avoir supprimer mon poste, et on m'avait doté à mon retour, de deux Pc sortis d'usine en 2000-2001, pour rapatrier des bases de données avec un outil en ligne, avec Windows NT, et 256 Mo de mémoire vive. Tout cela pour auditer le réseau de téléphonie mobile de SFR, pour, paraît-il optimiser le confort des clients, et pouvoir être N°1 aux tests de l'ARCEP. J'ai gardé ces PC jusqu'en avril 2006, ensuite nous sommes passés en Windows XP, mais moi comme toujours j'avais un train de retard, cette fois avec 512 Mo de mémoire vive, mais toujours insuffisant pour éviter la lenteur des opérations.
Tout cela est raconté dans mon blogue.
http://telecominfo.canalblog.com/archives/2013/11/14/28429107.html
Cet élu avait pourtant reconnu les aberrations, il avait informé les élus, en introduction :
Apparemment mon accident n'a pas été déclaré, ce qui m'a valu de rester en maladie pendant plus de huit mois avant d'être en partie régularisé, mais en fin de compte en Accident de Trajet, l’inspecteur des Accidents du travail a reconnu qu'il y avait un problème.
Nicolas de Brabant m'avait confirmé qu'il n'avait rien trouvé dans les archives concernant mon accident.
En parallèle, je m'aperçois à travers les Conclusions, que monsieur Nicolas De Brabant négociait son départ. Il avait pour mission de me faire partir, pour cela il me négociait à la clé une "bonne prime "
J'avais refusé, il n'était pas question de départ, mes responsables avaient accepté mon retour en me mettant la pression, mais pour ensuite me mettre au placard, donc pour moi il n'était pas question de départ forcé, outrageusement appelé "Départ Volontaire". C'était apparemment le rôle de quelques élus.
Avec la DRH, Christine AOBADIA, et le DTR Christophe PALFI " il négociait, de l'autre, il me rassurait.
J’ai appelé le Délégué syndical, Nicolas De Brabant, j’étais à ce moment là en maladie, il devait me trouver un nouveau poste dans un autre service, je venais aux nouvelles.
Monsieur Nicolas de Brabant, élu CGT (rouge), nous faits découvrir son vrai travail, et va nous démontrer en paroles, à travers son exemple, le vrai rôle, des Représentants du personnel de SFR, Centre-Est.
La Mission handicap n'avait plus de responsable, j'avait fait appel à ce monsieur qui critiqué ses collégues, qui ne faisait rien pour les salariés. Celui-ci, devait me défendre face à ce DTR, Christophe PALFI, et la DRH, pour que je puisse terminer ma carriére professionnelle. Il m'a fait des promesse, mais le DTR était intraitable, il m'a donc laissé tombé, mais en me trahissant.
Vous avez donc ses mails et ses conversations, tout cela dans un las de temps trés court, juillet/août, la défense et la trahison, qu'il mene de concert. Puis son évolution de carriére fulgurante, à partir de septembre, en me laissant sur le carreau.
Voici des extraits sonores de cette conversation du 30 juin 2007 :
Nota, des noms vont apparaître, alors que je ne les mets pas en cause, c’est le cas de Thierry LAVIOLETTE, mon N+1, et de Lydie KONFORTI, la Chargée d’étude handicap qui est citée par la DRH, mais aucune correspondance ne vient étayer ses dires. Un, dont je ne parle pas, mais qui est aussi hautement impliqué, c’est le cas du Responsable du CA (Centre d’Administration), monsieur Yves POMMIER, qui a été déchu de son poste en septembre 2005, le lendemain de l’arrivée de ma lettre recommandée à la Direction des opérations, le 22 septembre 2005.
Pour moi, les seuls grands responsables, sont le DTR, Christophe PALPI, la DRH, Christine AOBADIA, l’élu CGT, Nicolas De Brabant, la secrétaire du CHSCT, mon ancien manager Alexandre AVICE, et le PDG, frank ESSER pourtant averti par courrier recommandé, et par plusieurs mails, sans que celui-ci intervienne.
Et bien sûr l’intersyndical, qui n’a pas bronché.
Cet intersyndical, semble soutenir le comportement des siens, en novembre 2012, faisant suite à la lettre ouverte à Fleur Pellerin, j’ai envoyé un courrier recommandé à chaque membre de l’intersyndical, au sujet de monsieur Nicolas de Brabant, ma lettre est restée lettre morte.
30 juin 2006, voici des extraits de la conversation téléphonique, avec Nicolas de brabant, qui était censé m’aider à postuler sur un des six postes qui venaient de s’ouvrir dans mon ancien service.
Je rappelle, que le DTR souhaitait me voir quitter l’entreprise en avril 2006. Il était furieux du rapport transmis à la Direction générale, dénonçant mes conditions de travail. J’avais refusé ce "Départ Volontaire".
Monsieur Nicolas De Brabant revenait à la charge, il voyait lui aussi mon avenir, à l’extérieur !
Tu es arrêté jusqu’au 10 août, parce que moi, il n’est pas question de retourner chez Laviolette, tu le sais bien.
Moi j’ai parlé de fric pour que tu t’en ailles, mais beaucoup de fric, d’accord, pour que tu puisses, mais vraiment beaucoup de fric, pour que tu puisses t’en sortir, pour que tu puisses régler ta maison, moi j’ai pensé que tes problèmes pour construire tout ça, et de logement, et d’indemnisation. Pour moi se doit être un package financier, et toi après tu gères, le fric qui serait donné.
03 :30 Moi, je vais te dire sincèrement, si j’étais à ta place, je ne le suis pas, d’aller bosser chez SFR pour aller faire des conneries, franchement, ça n’a pas pour moi de plus valu pour toi, sauf si je ne t’ai pas complètement saisi, soit tu souhaite à tout prix travailler.
Le problème est que aujourd’hui, il y a une chose qui est acté, tu ne retournes pas chez Laviolette, je me suis battu pour qu’on te trouve un bureau correct pour que tu sois tranquille et que personne ne vienne te faire chier. Je suis en bagarre avec PALFI à ce niveau-là.
Moi, je vais te dire franchement, c’est que je sais, tu ne retrouveras pas la paix intérieure, si tu ne règles pas tes problèmes personnels, financiers, et terrain…
Ton boulot chez LAVIOLETTE, n’existe plus !
Maintenant, J’ai changé de fusil d’épaule, puisque finalement tu souhaites rester.
Pour moi, c’est un poste, avec un bureau, seul, tranquille où tu puisses disons soufflet
Maintenant ton bureau il est toujours localisé chez LAVIOLETTE, donc moi j’ai fait un mail à PALFI dans ce sens, en disant que je ne souhaiter pas que tu reviennes sur ce poste de travail au CA (Centre d’Administration). Parce que moi je préfère des choses claires. Pour moi que tu sois arrêté est une bonne nouvelle, dans ce sens ou je vais leur mettre la pression, ainsi que Lydie, pour qu’on te construise un poste et un bureau dans lequel tu pourras travailler de manière plus sereine mais pas avec un manager à la con au dessus de toi.
Maintenant je vais t’expliquer ce que je vais faire, je vais foutre la pression.
Je vais mettre la pression avec elle pour que quand tu reviendra, le 10 août, tu aies nécessairement un bureau, un poste de travail, et une mission.
Je ne voulais pas que tu reviennes lundi matin dans ce bureau à la con, ce chef à la con, ce serait mal passé
Ici, il ment, la preuve piéce N° 34, il a bien été reçu, « vous nous aviez reçu fin juin 2006 », et l’indic informe, ce 3 août « Claude ne m’a pas contacté depuis 3 semaines. Ce qui prouve que « la Taupe » était en service commandé !
Parce que la direction, ça ce passe de la manière suivante, s'ils n'ont pas la pression, ils n'en ont rien à foutre, je devais être reçu par AOBADIA, mais elle sait casser quinze jours en vacances.
Ici, en parlant de la secrétaire du CHSCT, madame Hélène PAPILLON.
je suis plus jeune que toi, j’ai 37 ans, je n’ai aucune illusion sur le genre humain.
On escalade les mails au plus haut niveau, et que je leur mais la pression, des mails qui font 20 pages, autant de dire qu’ils font le nécessaire.
Pourquoi, ils hésitent, à mon dieu, ils savent bien que tu as 180 h, et pourquoi ils ont peur de toi, ils n'ont pas peur de toi pour les 180 h, si tu avais eu un accident avec zéro heure supplémentaire, si tu veux, c’est la faute à pas de chance, mais là ils savent très bien que tu les tiens …
Mais, par contre je vais t’informer d’un truc, maintenant quand je fais des mails à PALFI, je mets la pression aux membres du CHSCT et aux autres DP élus, d’accord.
Moi ma position, j’ai compétence pour te défendre et gérer ton dossier au niveau de la DTR Centre-Est, et voire même au niveau de la direction générale. Maintenant ce que je veux, c’est que les gens qui n’ont rien fait, en faite je ne demande pas qu’ils m’aident, je fais en sorte de les mouiller et de dire qu’ils n’ont rien fait pour toi pendant 5 ans, et ça marche très bien, parce que je reçois des mails en me disant mais qu’est ce que tu dis, pourquoi tu nous mets en copie, tu vois je les mails dans une situation pour qu’ils soient emmerdés.
Quand je fais un mail à PALFI, tout le monde est en copie, d’accord.
Concernant mon accident, aucune trace dans les archives :
Avec Lydie, on ne l’a pas retrouvée.
Conversation du 04 juillet 2006 :
Léger flou, il parle de revirement, apparemment, la direction a dû le remettre sur les rails, et il revient à l’attaque en m’annonçant une bonne prime de départ.
Là, il démontre que la Mission handicap n’existe que de nom, c’est la direction qui décide. Monsieur Nicolas de Brabant me raconte son histoire, toujours des promesses, mais il doit négocier avec lui-même.
http://telecominfo.canalblog.com/archives/2013/11/13/28426881.html
La direction ne bouge pas
En conflit avec eux sur un point, il pense que tu peux rester chez Laviolette, moi je m’y oppose, je le dirais à la mission handicap, ils sont revenus sur ce point, moi je pense qu’il ne faut pas que tu restes chez Laviolette.
Mais si tu veux, il y a une passivité, en fait, là ou je ne marche pas dans leurs jeux, ils attendent. Moi, je ne suis pas dans une stratégie d’accompagnement, je suis dans une stratégie de dénonciation de certains faites à ton égard, et c’est à eux de construire une solution.
Il tente une dernière fois de me convaincre pour partir, il me négocier une prime de 200.000 €.
Il y a maintenant Lydie de la mission handicap qui gère ton dossier, ça les faits chiers.
Et le 3 août avant de partir en vacances, n’ayant pas réussi à me convaincre de partir, il remplissait son contrat, en faisant une mise en scène avec les mails que l’on retrouve dans les Conclusions, contre la signature pour partir en stage. Un stage d’ingénieur sur une durée d’un an payé par SFR.
Le 11 juillet 2006, la DRH passe à l’offensive, après avec contacter ses informateurs, voyant que je ne voulais pas partir de moi-même, et avant que l’élu parte en congé.
Jeudi 03 août 2006, monsieur Nicolas De Brabant, à son tour passe à l’offensif, en envoyant de fausse information au CHSCT Centre-Est.
Dans la foulée, il informe la direction, mon responsable, l’élu CGT, et la Chargée d’étude, mais dans un mail sans éffusion.
Entre en jeu, la secrétaire du CHSCT, qui prend seule les choses en mains, un vrai chérif.
Notre bureau était à cinq mètres de cette secrétaire, face à l'open space. Subitement elle se réveille et fait des prouesses pour régler une situation qui apparemment dure depuis longtemps, et que la direction est incapable de gérer.
Elle avait à peine reçu le mail, qu’elle avait pu mener une enquête approfondie, donner des consignes, d’apprendre qu’il y avait des dysfonctionnements, « de nombreux problèmes sur les OMC, et que le réseaux pas toujours réactif », elle a rassuré mes collègues qui n’ont pas voulu apporter de preuves écrites, malgré son insistance, tant pis ils seront contraints de le garder comme collègue (…)
Ensuite, elle rapporte directement à la direction. Elle avait pu avoir une "expertise fiable" de son médecin traitant, un généraliste, cela par téléphone, en faisant une simple description, « une vraie madame soleil », que j’étais porteur d’une maladie incurable, donc dangereuse pour mes collègues.
Conversation du 07 août 2006 :
Ce qui est logique, les Conclusions en atteste, la pièce de théâtre est terminée.
Il n’avait pas grand-chose à me dire.
Apparemment marche arrière de la direction, rien n’avait bougé. Et lui, il partait en vacances.
Évidemment, on s’aperçoit, que les deux taupes, Nicolas De Brabant, et la secrétaire du CHSCT, Hélène PAPILLON avaient signés un pacte le 03 août 2006 avec la direction, pour me déstabiliser au sein de l’entreprise en faisant circuler des rumeurs, et en me discréditant.
Ce 07 août 2007, 13h 18, la chargée d’étude handicap, après une conversation téléphonique, après lui avoir exprimé mes inquiétudes, après plus de deux mois de négociation, de Nicolas De Brabant avec la direction, qui soufflent et le froid et le chaud, prend les choses en mains et me donne officiellement ma chance.
Mais les Conclusions, pièce N° 35, en disent long sur le rôle obscur qu’a joué cet individu, avec la direction, en faisant mine de me défendre, alors qy'il avait pour mission à me dissuader à partir, avec une proposition de départ, que j’avais toujours refusée.
Combien de salariés ont été dupé par ces élus corrompus.
Un an plus tard, il quittait SFR avec un diplôme d’ingénieur en poche, et les rumeurs de l’époque parlaient d’une superbe prime de départ, alors qu’il n’était dans les murs de SFR que depuis, moins de 7 ans.
Ce qui veut dire qu’il avait déjà négocié, alors qu’il faisait semblant de me défendre, son profil sur Internet, vient nous le prouver.
J’allais par la suite être piégé par son collègue, Thierry CHESA surprit un matin entrain de m’installer de la mémoire sur mes Pc, ce qui a permis ensuite de créer une affaire de toute piéce, pour me mettre une sanction disciplinaire, et de permettre au DTR de me licencier.
Voici aussi, la preuve :
Et cette boule puante lancée par mon ancien manager, alexandre AVICE.
Cette secrétaire qui avait ensuite colporté des rumeurs, qui a permis de me déstabiliser.
Et voici le reste de la bande, comme des Moutons de panurge, sans lever le moindre petit doigt ont à l’unanimité, donné le pouvoir à la Direction, de me chasser de l’entreprise, pour qu’ils puissent continuer à vivre heureux.
Ils savaient tous que j’avais connu l’insoutenable avec cet accident, ceci en mission. J’ai vu la mort de prés, et je revenais de loin, il n’en est pas de même dans la voiture du chauffard, avec un mort, et pour l’autre le fauteuil roulant, à vie.
J’ai réappris à marcher avec un séjour de plusieurs mois au Centre de rééducation fonctionnelle de Val Rosay, j’avais connu le fauteuil roulant pour me déplacer, le déambulateur, puis les béquilles, et 1.500 heures de kiné sans compter les week-ends. Ils savaient que j’étais en train de construire de mes propres mains, ma maison.
Ils savaient tout cela, mais rien n’a empêché, les acteurs de tous ces mails qui soutiennent ce jeunes DTR de l’époque, Christophe PALFI, de m’amener au fond du trou. Aujourd’hui, je n’ai toujours pas fait le deuil de cet accident, devant les difficultés insurmontables dans lequel ils m’ont tous précipité.
L’intersyncal SFR mit au courant par courrier recommandé n’a pas bronché et a donc implicitement, soutenu ces élus pour cette mission, commandité par la DRH et le DTR, indigne pour ces personnages, sans âme, en mettant dans ce panier de crabes, mon ancien manager, Alexandre AVICE.
C’est odieux de la part de cette DRH, Christine Aobadia, et ce DTR, Christophe PALFI d’employer des moyens des pires moments de l’histoire, de chasser le seul l'handicapé de son service, sans me laisser aucune chance de rebondir.
Cet élu avait fait le bon choix, il a désormais trouvé un bon poste au chemin de fer Suisse, Spécialiste GSM-R chez CFF, dans la Région de Berne, en Suisse. Moi, il m’a sacrifié, pour m’envoyer ensuite terminer ma carrière professionnelle, en rejoignant le bataillon des chômeurs.
Son collègue CFDT avait suivi le même parcours, la DRH a essayé par la suite de le compromettre.
Cet élu CFDT, qui avait ouvert le bal
Cet élu CFDT, Christophe BOSHOUWERS n'a pas voulu m'aider, il n'a pas répondu à ma lettre recommandée. Il respecte l'omerta signée avant de quitter SFR, une formation à Lille d'une année, touchant, lui aussi une bonne prime pour son silence, et en prime une place réservée à l'Éducation Nationale par l'intermédiaire de son responsable Louhari DATI, qui avait un carnet d'adresses de premier choix.
Il est toujours grand temps aujourd'hui, pour eux, de rompre le silence et de dénoncer ces pratiques indignes de cette grande société, ce sera tout à leur honneur, car entre-temps le paysage a changé, et ainsi ils auront la conscience tranquille.
J’ai fait un pourvoi en Cassation, mais sans trop y croire.
En effet avec mon adversaire (l’assurance), en Cassation, il en est ressorti des Conclusions abérrantes, l’avocat adverse avait raconté une histoire, les juges l’on suivit et j’ai été condamné à 2 200 €, pourxxxxxxxxxxxxxx
La tournure est la même avec SFR et ses délégués corrompus. En Cour d’Appel , cinq minutes de plaidoirie, du travail à la chaîne pour les juges, comment peut-on faire du travail sérieux dans ces conditions.
Résultat, les juges sont restés à l’écoute de cette belle histoire, conté par SFR, alimentées par ses « crapules », en ayant mis le doute dans les esprits, avec cette maladie incurable, et cette démence incontrôlée (élus, CHSCT (personnages intègres), et mon ancien manager, sans oublier la DRH et le DTR, les commanditaires, je n’avais aucune chance, malgré les preuves apportées, et les certificats médicaux (…)
Mais je suis obligé de passer par la Cour de cassation avant de saisir la Cour européenne des droits de l'homme.
Pour l’instant, tous ces prédateurs coulent une vie paisible, sans s’inquiéter.
La Mission Handicap, avec l’argent qui coule à flots de l’AGEFIPH, n’a qu’un rôle de couverture pour pouvoir encaisser le flic, en délaissant les handicapés.
Chez SFR, la chasse à l’homme était lancée, le Plan de Dégraissage était activé, et un quart de l’effectif, sans prendre de gants a été viré en moins de trois mois, dans l’indifférence la plus totale.
La Cour de Cassation a condamné SFR, le 18 juin 2014, pour Collusion Frauduleuse. SFR s’en tire à bon compte, les primes versées aux PDG resteront encaissaient, les dizaines d’handicapés virés eux aussi, l’ AGEFIPH ne réclamera rien, donc tout bénéfice, et surtout pas un mot dans les grands médias.
J’avais reçu un mail, pour la trahison d’élu dans le conflit des 1900 salariés, confirmé dans le livre « Les coulisses d’une machine à cash »
Mail, que j’ai fait suivre en parlant d’Hélène PAPILLON, dans le Sujet, la secrétaire du CHSCT, qui aurait été capable de trahir, les Conclusions m’ont donné raison.
En guise de conclusion, voici la confession d’une Élue CGT au CE Opérateur, qui dénonce de nombreuses dérives, et vient confirmer que la direction SFR a une grande influence sur les syndicats.
CE Opérateur] Déclaration d’une élue - Mes vœux pour la prochaine mandature
mercredi 19 septembre 2012
par CGT-SFR News
Les syndicats qui ne vont pas dans le sens de la direction, sont déstabilisés.
Voici la déclaration d’une Elue CGT au CE Opérateur de ce jour :
Mes vœux pour la prochaine mandature
La « moralisation » et « l’exemplarité » doivent s’appliquer dans le fait syndical. Ne n’oublions jamais !
Cette déclaration est faite en mon nom propre et n’engage que moi-même.
N’étant pas certaine d’être toujours avec vous lors la prochaine mandature, et étant consciente des enjeux à venir, je me permets d’évoquer avec un certain regret, de nombreuses erreurs tant sur le fond que la forme que j’ai pu constater durant ces 3 dernières années.
La Direction voulait que ce CE soit une belle endormie, les élus l’ont aidée …
Je rappelle que l’instance CE est une personne morale représentant le collectif
Je regrette :
- Que cette instance ait servi des intérêts d’appareils au détriment des débats, que certaines OS (Organisation Syndicale) pour des raisons politiques aient privilégié l’élection de membre(s) peu compétent(s) dans les CCE et diverses commission(s), pour attiser des guerres entre personnes et OS à l’encontre de l’intérêt des collaborateurs et de leurs vote(s) ;
- Que certains aient éteint les débats sur des sujets importants dans le but exclusif de nuire ou à une organisation ou à une personne.
- Que d’autres se soient servis du CE comme caisse d’enregistrement de décisions prises dans le cadre de bilatérales de couloirs, par quelques apparatchiks.
Je souhaite que le CE soit à l’avenir organisé et outillé face à une direction qui sait profiter du manque de cohésion des élus.
Les possibles changements à venir vont nécessiter de la part des futurs élus un engagement, une cohésion irréprochable, une volonté de s’organiser et de partager. S’ils souhaitent accomplir la mission pour laquelle ils auront, je le rappelle avec force été élus par les collaborateurs. Il se devra de définir comme dans toutes organisations des missions et des rôles en fonction des qualités et engagements de ces membres.
- S’assurer du suivi des demandes (il ne suffit pas de réclamer des informations sans s’assurer qu’elles seront fournies)
- Suivre les ordres du jour afin d’avoir la vision générale des impacts par direction durant la mandature et de vérifier que les informations légales ont bien été dispensées dans les délais.
- S’assurer du suivi des commissions.
- Définir des référents intersyndicaux sur les autres périmètres d’instance que le CE de manière à être éclairés en transverse sur l’ensemble des actions.
- Disposer de moyens de communication modernes intranet, site internet
- D’exiger les budgets et missions confiés à la sous-traitance, afin de s’assurer qu’il n’y ait pas perte de compétences ni risque de RPS (Risques Psycho-Sociaux).
- Mettre en ligne les PV du CE dans des délais raisonnables…
- Le CE dispose d’heures de délégation : il faut en faire pot commun.
La direction est organisée et solidaire face aux élus. Nos divisions aux services d’appareils ou d’égo sont autant de leviers qui lui permettent d’affaiblir le contre-pouvoir que nous représentons. Seule la solidarité pourra nous aider à aplanir les difficultés qui se profilent
Le fait syndical ne peut exister qu’au travers de l’exemplarité et de la qualité de ses membres.
Notre belle France est bien malade, à tous les étages, aussi bien en politique, que dans les entreprises. Coluche, il y a 30 ans en parlait déjà dans ses sketches, rien n’a changé.