C'est dans ce contexte que j'ai été viré, comme des milliers d'autres !
"Vache à lait", jusqu'à 50 % du chiffre d'affaires de Vivendi : Un extrait du document publié par les échos, et repris récemment par l'intersyndical SFR, à Fleur Pellerin.
http://www.cgt-sfr.fr/spip.php?article214
Venons-en rapidement au fait : des suicides cachés, en laissant France telecom, seul face aux médias, puis à la justice !
Je rappel que l'Avocat de SFR a pu démontrer au Prud'Homme et à la Cour d'Appel, que chez SFR il n'y avait pas de stress, et que je travaillais d'en d'excellentes conditions.
Voir pour cela dans la rubrique "J'ai été débouté en Appel contre SFR, le combat continu"
Un climat social tendu, les dirigeants ont laissé pourrir la situation, dans un climat social en trompe l'oeil.
Tout commença par un cri d'alarme de la CGT, suite à une tentative de suicide :
A peine cinq mois plus tard, le cas d'un premier suicide, puis 2, 3 , 4 (...)
L'UNSA avait rendu public en interne, en avril/mai 2010 à ses adhérents, le cas de quatre suicides, dont le premier avait eu lieu en décembre 2007 :
La suite dans ce document.
A cette occasion, j'avais écrit à Fleur Pellerin et à Arnaud Montebourg par l'intermédiaire du Président de la République pour apporter mon témoignage pour conforter les dires de l'intersyndical sur le maintien de l'emploi, et le "Départ Volontaire", tromperie des dirigeants de SFR. Et surtout pour que l'intersyndical SFR puisse m'aider à faire la lumière sur la trahison de plusieurs représentants du Personnel de Lyon Centre-Est.
Arnaud Montebourg a esquivé et a transféré ma lettre dans une impasse, pour éviter de prendre position.
Dans les Conclusions d'SFR, je me suis aperçu que j'avais été entouré de scorpions. Mais plus grave, les représentants du personnel, dont l'élu CGT, censé me défendre m'avait vendu à la direction, ce monsieur, Nicolas De Brabant, faisait semblant de défendre ma cause. J'avais noté à cette époque, cette phrase "Je ne me fais pas d'illusion sur le genre humain, en parlant de cette secrétaire du CHSCT de Lyon, qui a eu par la suite un comportement indigne. Ensemble avec la DRH, ils ont monté un stratège pour ensuite me déstabiliser.
Voir sur le blog : Un senior-handicapé, viré de SFR, avec l’aide des élus.
Moi aussi j'avais été blessé en apprenant dans les Conclusions de SFR, qu'en coulisses j'avais été "Vendu", "Trahis" par quelques représentants du personnel, qui ne pensaient qu'à sauver leur peau, en échange d'un avenir plus serein, en ayant la certitude d'être récompensés pour leur basse besogne.
Ulcéré aujourd'hui, en apprenant que Vivendi est sur le point de vendre sa "Vache à lait", après avoir tiré les dernières gouttes, mais dans la douleur pour plusieurs familles. En effet, les syndicats de SFR ne veulent pas briser l'omerta, pour avoir caché à leurs clients du téléphone mobile, que les dirigeants d' SFR avaient trop tiré sur la corde en très peu de temps, non pas pour réduire les coûts de l'abonnement, mais pour en avoir plus dans les poches. Free-Mobile n'était pas en cause, à cette époque.
Une grenouille risque d'avaler la "Vache à lait", bien mal en point, ce même SFR narguait, il y a quelques années ses concurrents en arborant la première place avec un ballon dirigeable affiché dans tous les abris Bus, en étant "N°1" aux tests de l' ARCEP, mais à quel prix ! SFR est descendu bien bas en étant la lanterne rouge des Telecoms en France.
Salariés en mal êtres
Pour Numericable ou Bouygues Telecom, aucun licenciement ou vague de départ contraint, l'avenir nous le dira, moi je suis sceptique, sinon pourquoi tout ce tapage médiatique.
Dans tous ces remus ménage chez SFR, des salariés en mal être son déjà resté sur le carreau. Je n'ai pas de chiffre officiel, mais assez pour que SFR, soit élu N°1 dans le domaine, et dans le secteur des télécoms, en détenant le plus grand nombre de suicides !
Si j'avais passé l'arme à gauche concernant mon cas, mon épouse n'aurait jamais pu prouver quoi que ce soit, en effet actuellement avec ce contrat passé entre la secrétaire et l'élu Nicolas De Brabant, la DRH avait pensé à tout, et aujourd'hui j'ai les pires difficulté pour prouver ma bonne fois, avec plusieurs mails me discréditant, et en me traitant de malade incurable.
Je pense que si un salarié se suicide chez SFR, la direction trouvera le moyen comme c'est actuellement pour mon cas, de retourner la situation, en prouvant que le salarié avait des problèmes personnels, confirmé certainement par quelques brebis soudoyés au départ. SFR semble très fort pour raconter des histoires.
Une vague de suicides est révélatrice d'un grave malaise social ...
- ( lexpansion.lexpress.fr ), au même moment, même destin pour des salariés de SFR.
Voici un aperçu de ce malaise social (...) sous la présidence de monsieur Frank ESSER, et de monsieur Stéphanne ROUSSEL Directeur des Ressources Humaines.
Il est vrai l'année 2007 a été meurtrier à plus d'un titre pour les salariés, le sondage démontre, un climat dégradé "la chasse à l'homme était engagé", je n'étais pas seul, pendant mon licenciement, encore un exemple de mail qui circulait :
Voici un ensemble d'extraits de document de L'UNSA qui dévoile le côté obscur de cette société, d'où le dialogue social est quasi absent, face à des dirigeants qui laissent pourrir la situation, et qui laissaient s'installer une ambiance délétère.
l'UNSA qui est devenu le premier syndicat, chez SFR LYON.
Les syndicats espéraient que Xavier Darcos allait leur donner un coup de pouce.
Ils ont été vite déçus, Sfr avait ses entrées au gouvernement et a vite réglé la situation.
Et UNSA, comme les journaux, semblent étonner que la direction d'SFR ait réussi ce tour de passe passe, en présentant au cabinet de Xavier DARCOS, un accord signé datant de 2003, et qui n'avait jamais été respecté.
Puis les patrons, et le Medef sont monté aux créneaux, et Xavier Darcos a été vite remerciés, et les dirigeants de SFR ont repris la situation en main.
Cet accord bidon, SFR dans ses conclusions, l'a mis en avant aux Prud'hommes et à la Cour d'Appel.
De mon côté, je pars en Cassation face à cette grosse société inhumaine, rompu à la langue de bois, au tour de passe passe, n'ayant pas hésité à acheter des représentants du personnel pour m'affaiblir, pour me faire partir. Quand on voit que des suicides à partir de 2007, apparemment aucune enquête n'avait abouti. La direction laisse trainer les dossiers, le dialogue social est presque inexistant, on comprend mieux que, certains préfèrent ce mettre du coté de la Direction, car, sinon ils risquent gros comme on peut le constater, SFR sait dissuader les plus récalcitrant.
Ce qui pourrait expliquer le comportement des élus Centre-est, en effet une chasse engagée contre tout syndicat qui lui résiste, mais cette fois face à un récalcitrant, SFR, emploie la "force", et demande l'aide de la justice :
http://www.mediapart.fr/journal/economie/271109/sud-un-syndicat-antirepublicain-sfr-l-attaque-au-tribunal
2009-2010, rien de nouveau, aucun accord, et la dégradation du travail continu et Free Mobile n'est toujours pas en cause !
Concernant les suicides j'ai trés peu d'information, la situation doit être toujours aussi tendu, et les syndicats ne communiquent pas, seul les journalistes peuvent en savoir plus.
- SFR avait une longueur d'avance, en comptabilisant, 4 suicides pour un effectif de 7.000 salariés de fin 2007 à mi-2009, soit 57 pour 100.000 salariés, il est vrai en 18 mois, mais malgré tout, SFR bas presque tous les records, soit 38 suicides pour 100.000 salariés sur une année, soit presque deux fois plus que France Télécom, et au-delà de la moyenne nationale, sans que les médias en soient informés par les syndicats.
- Le record, 45 chez les médecins.
SFR, qui habituellement était fier de communiquer, est pourtant devenu muet, il pourrait être élu, N°1 des entreprises françaises, détenant le plus grand nombre de suicides !
La moyenne d'âge était beaucoup plus importante, chez FT.
Mais les méthodes étaient plus musclées et expéditives, chez SFR.
Les suicides :
Le ministère des Affaires sociales a fait l'état des lieux du suicide en France , le 04 juillet 2013.
http://www.sante.gouv.fr/etat-des-lieux-du-suicide-en-france.html
"Le taux de décès par suicide pour 100.000 habitants est passé de 20.3 en 1990 à 16.2 en 2010 (de 32.3 à 24.7 chez les hommes et 10.7 à 8.3 chez les femmes)".
"Risque suicidaire et travail
Le travail est reconnu comme étant un facteur de protection vis-à-vis du suicide. Cependant, certaines situations dans le milieu du travail peuvent engendrer des situations de souffrances psychiques et un risque de passage à l’acte suicidaire. Les risques psychosociaux recouvrent des risques professionnels d’origine et de nature variées, qui mettent en jeu l’intégrité physique et la santé mentale des salariés et ont, par conséquent, un impact sur le bon fonctionnement des entreprises [2].
Selon l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) de nombreuses études épidémiologiques ont établi un lien entre des contraintes de travail génératrices de stress chronique et l’apparition d’une dépression pouvant favoriser un passage à l’acte suicidaire. En savoir plus
Une étude [-] de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) décrit le risque suicidaire selon l’emploi. Elle s’appuie sur les do nées de l phase pilote en région Rhône Alpes du programme de surveillance de la santé mentale selon l’activité professionnelle « Samotrace ». Le risque suicidaire concerne près de 10% des femmes et 7% des hommes. Chez les hommes, les catégories sociales les plus favorisées sont les moins concernées. Bien que les résultats ne soient pas significatifs, le secteur de la santé et de l’action sociale et celui des transports et communications pourraient être plus particulièrement concernés. Chez les femmes, le risque suicidaire selon l’emploi est moins contrasté."
Dans cette enquête, est-ce que les chiffres de SFR ont été déclarés, et comptabilisés ?
Apparemment en 2010, rien n'avait été entrepris par la direction pour endiguer cet état de fait.
La direction SFR, comme à France Telecom a demandé l'aide de ses managers, mais aussi de ses représentants du personnel,pour faire le ménage, en usant d'astuces à la discréption de chacun, pour éclaircir les rangs.
Mon commentaire, on m'a fait parvenir cette note : Licencié pour incompétence, novembre 2010, apparemment l'ambiance n'avait pas réellement changé.
J'ai été confronté à ce genre de méthodes. EAD ou Entretien d'Appréciation et de Développement, ou Bilan de fin d'année, qui conditionne la vie professionnelle, sur les aptitudes à atteindre les objectifs, les augmentations, les primes, et l'évolution dans l'entreprise.
En janvier 2007, mon manager m'a attribué d'office 1 point partout sur 4 maximum, sur 10 critères, sans explication, dans un travail qui n'était pas dans ma définition de l'emploi, mais inférieur.
Ensuite, j'ai été convoqué pour une sanction disciplinaire, et envoyé à l'ANPE, en avril 2007.
Ces méthodes dénoncées en interne par les syndicats ont perduré et accéléré, ce qui a permis de dégraisser à bon compte.
Et toujours des réponses laconiques, des réponses passent partout, les mêmes que l'on retrouve dans les Conclusions pour ma mise en accusation. Mes Conclusions n'étaient qu'Allégation, Allégation ...
Quand j'ai été viré l'ambiance était exécrable, le stress était à son plus haut, apparemment rien n'a changé entre-temps.
SFR va disparaître, deux offres ont déposées, et mes problèmes avec la justice vont disparaître avec, et l'on passera à autre chose.
Les Dirigeants vont se frotter les mains, dont monsieur Jean René FOURTOU qui partira avec un joli pactole, en faisant flamber l'action Vivendi, en mettant à la réforme cette "Vache à lait" qui devenait un boulet, en passant à la phase ultime !
J'ai un souhait, que tous les acteurs de mon éviction, syndicats et managers, aillent faire un tour du côté de pôle emploi, car eux aussi maintenant sont sur la celette.
Nota : J'espère que des journalistes curieux d'en savoir un peu plus sur les suicides, comme cela avait été effectué pour France Telecom, pourront nous informer, avant que Vivendi ne tourne la page, et que les repreneurs enterrent les dossiers.
Le réseau 4G de SFR semble faire du surplace :
J'ai recherché des informations sur le déploiement de la 4 G, difficile de s'y retrouver, on ne trouve que les pourcentages de couverture. On trouve aussi que Free a peu d'antennes de déployé. Tout cela ne veut rien dire pour le commun des mortels.
SFR a été comme toujours dans tous les domaines le premier, cette fois à lancer la 4 G en novembre 2012 à grand renfort de publicité.
Mais comme toujours après il ne fait rien ou pas grand-chose.
J’ai enfin trouvé un lien qui donne l'avancement des sites 4 G en service, et je n'ai pas été surpris de trouver que Free-Mobile talonne SFR et risque de le dépasser à court terme.
Source : déclarations des opérateurs à l'ANFR
Supports 4G en service, au 01 mars 2014 :
Bouygues Telecom avec 6029 supports.
Orange 4989 supports.
SFR 1489 supports.
Free mobile 1115 supports.
Comme toujours SFR lance une action en grand renfort de publicité à travers les médias, en s'affichant comme N°1, ensuite une fois la machine lancée, il entretient la confusion avec de la pub à longueur de journée en sortant parfois des chiffres qui ne veulent rien dire, mais qui flattent le consommateur. En grattant un peu, on s'aperçoit comme ici qu'il n'est pas meilleur que les autres, voire pire, comme ici dans notre exemple.
On a pour habitude de critiquer Free-Mobile, mais ici, en étant le premier à lancer la 4G, il ne devance Free-Mobile que de 374 supports 4G, pourtant SFR est censé avoir de l'expérience dans le domaine, alors pourquoi ce retard ?
Il en a été de même pour le handicap, SFR se veut un référent, mais regardé mon blogue et vous allez trouver la même manipulation. Avec la aussi beaucoup de commentaires, de pub, et en fin de compte rien en interne.
http://telecominfo.canalblog.com/archives/2013/11/14/28428913.html
SFR a lancé un appel d'Offre, mais on a l'impression que les jeux sont déjà faits, ou ils essaient de faire monter les enchères :
Les deux Opérateurs ont leurs entrées à l'Elysée.
Un accord de mutualisation avec Bouygues Telecom avait été signé, à la fin janvier 2014.
Bouygues Telecom dispose à l'heure actuelle de 6029 supports.
SFR ne dispose que de 1489 supports, mais une grande pub affichée sur la tour de la défense sur la 4G, permet de porter le regard ailleurs.
Avec SFR-Bouygues Telecom, tout pourrait aller pour le mieux, mais vendre un bon réseau à Free, pour racheter un réseau de moyenne qualité, avec trés peu de supports, avec du matériel chinois, ou est la logique ?
Mais, SFR-Numéricâble ne totalisent que 1489 supports, pour 6029 supports pour Bouygues Telecom, avec des antennes mutualisées avec SFR.
SFR se retrouve donc encore l'avant-dernier, bientôt rattrapé par Free Mobile, donc cette fusion n'est pas crédible dans l'état actuel du réseau actuel..
* Support : infrastructure supportant une à plusieurs antennes
Il y a sûrement une logique dans tout cela, tout a été préparé de longue date, et maintenant faire accepter de force cette fusion, une fois de plus à grand renfort d'arguments, avec des promesses alléchantes au gouvernement, tout est possible. Vous avons déjà assisté à coup de force, avec les 25 % de salariés virés en moins de trois mois, sans opposition du gouvernement de l'époque, en 2007.
C'est une partie de Poker, il faut attendre la suite des rebondissements
Nota : SFR a tout fait pour faire reporter le verdique de la Cour de cassation, qui devait être prononcé en novembre 2013, VIVENDI a des antennes partout, il est très influant, dans tous les domaines. Cela lui laisse un peu de répit en attendant le verdic.
Comment en est-on arrivée là ?
L'histoire de Vivendi est de SFR est une véritable Saga, où l'argent est roi, pour tout ce petit monde qui s'en donne à coeur joie, avec comme variable des pions que nous avions été, je schématise.
Sous l'aire de Jean-Marie Messier, surnommé "J2M" ("Jean-Marie Messier moi-même maître du monde), Vivendi devient un géant, dans ces points culminants, il comptait environ 380 000 collaborateurs, dans plus de 100 pays, et coté à Wall Street. Avec lui il y avait de l'humain dans sa stratégie.
Puis le retournement de la Bourse, la chute du titre de Vivendi, des dettes apparaissent, et ce fut le début de la fin. Le 30 juin 2002, Jean Marie Messier est débarqué par son Conseil d'administration.
Mais avant de partir celui-ci s'était octroyé un parachute doré de 20,5 millions d’euros.
Monsieur Jean-Marie Fourtou a été désigné comme le sauveur de cette entreprise en détresse. Il était en retraite, il devait travailler bénévolement.
Cet homme, Jean René FOURTOU, est arrivé en juillet 2002.
Sa stratégie était complètement différente, il a entrepris le démantèlement par pans entiers de l'empire que c'était constitué son prédécesseur. Sur 380.000 salariés, il ne restait plus que 34.000 collaborateurs en 2005, l'humain avait laissé la place à la finance, pure et dure.
Son but était de faire flamber la bourse, l'action est arrivée à son plus haut. C'est à ce moment qu'il a laissé sa place à Jean Bernard Levy.
Il quitte donc son poste de président du directoire pour celui de Président du conseil de surveillance de Vivendi. Un choix qui n’a que des avantages. D’abord, cela lui permet d’exercer ses droits à la retraite de son ancien employeur. Ensuite, il continue de toucher un salaire chez Vivendi.
Il avait pu se constituer avec ses fils, un joli pactole de 30 millions d'euros, en moins de 3 ans.
En faisant travailler indirectement et durement les salariés de SFR. Il a pu ainsi s'attribuer d'autres avantages, et avoir un train de vie de folie, mais aussi, des Stock-options par millions, Falcon à disposition pour faire des virés au Maroc avec ses amis, entre autres, le patron de Vivendi a pleinement su profiter de sa fonction.
Un petit exemple (extrait) : le vendredi 12 juillet 2002 à 17 heures, Fourtou, accompagné de sa femme, prend place dans un Falcon 900 à destination de Marrakech. Monsieur repart tout seul le dimanche 14. Prix total : 23 368 euros au frais de VIVENDI.
A cette époque chez SFR, il était difficile d'avoir un stylo s'en en justifier l'utilité.
Aujourd'hui, il voudrait répéter l'opération, il fait tout son possible pour que l'action VIVENDI bondisse à nouveau et rapidement en Bourse.
En effet monsieur Jean Marie Fourtou détient en autres 800.000 actions qu'il voudrait revaloriser avant de partir en retraite. Belle retraite qu'il prépare depuis son installation aux commandes de VIVENDI, qui lui a permis de gérer au mieux son portefeuille.
Alors que nous salariés, certaines de nos actions ont été achetés à plus de 60 €.
Voici un document qui dépeint cet homme de l'ombre, pour le grand public, et qui a fait licencier des dizaines de milliers de salariés, pour sauver VIVENDI. Pour essayer par tous les moyens de faire remonter le cours de bourse.
http://www.liberation.fr/evenement/2007/06/29/jean-rene-fourtou-un-train-de-vie-de-folie_97263
Il ne ménage pas sa peine pour faire à nouveau bondir l'action VIVENDI, le seul moyen actuellement est de se séparer de SFR, cet encombrant fardeau :
Pour les salariés de SFR, la casse sociale ne ce n'est pas arrêtée, depuis l'arrivée de Jean René FOURTOU, en 2002, avec des brassages comme :
2005 2.000 suppressions de postes suite à la fusion SFR/Neuf Cegetel ?
2007 licenciement de 1900 collaborateurs soit 25% des effectifs, plus des centaines de licenciements avec "Départ Volontaire", comme le mien.
2008 Rachat de Cegetel, Le nouveau groupe vient de confirmer l'information donnée par les Echos ce mardi. L'opérateur de télécoms issu de la fusion entre SFR-Neuf Cegetel va supprimer 450 postes, soit 5% des effectifs, dans le cadre d'un plan de départs volontaires.
2011, rachat des parts de SFR dans Vodafone.
2012, l'arrivée de Free-Mobile
2012, le déclin de SFR : Frank ESSER n'avait pas anticipé l'arrivée de free, début d'une grande purge, en mars 2012, celui-ci fut débarqué avec en prime un joli parachute doré de 3.9 millions d'euros, une fois de plus ces aux salariés de payer les erreurs.
Il fut remplacé par Jean Bernard Levy, celui qui trouvé que les salariés des Centres d'Appel faisaient du gras, il a à son tour jeté l'éponge, en juin 2012, lui aussi est parti avec un parachute doré de 3.9 millions d'euros
Et bien sûr les licenciements ont continué au fil des années, pour garder la rémunération des actionnaires, jusqu'à la vente prochaine de SFR.
A 74 ans, monsieur Jean René Fourtou aura au moins réussi à s'enrichir, en très peu de temps, avec des milliers de salariés qui ont et qui vont être mis à la rue.
A lire aussi :
Pourquoi Jean-René Fourtou veut faire remonter l'action Vivendi
http://www.bfmtv.com/economie/jean-rene-fourtou-veut-faire-remonter-laction-vivendi-409740.html
- Jean-René Fourtou
Signe que Nicolas Sarkozy réactive ses réseaux personnels en vue de 2012: la promotion du président du Conseil de surveillance de Vivendi, Jean-René Fourtou, à la tête de ce «think tank». On y retrouve également le patron de BNP Paribas, Michel Pébereau, mais aussi l'ancien ministre de Balladur, Alain Carignon. Voilà qui ne manquera pas de rappeler l'épisode du Fouquet's, l'image d'un président proche des milieux d'affaires.
Un autre site très intéressant, sur les avantages consentis à SFR-VIVENDI, mais aussi à ses centaines de salariés qui se battent dans l'ombre :
Salariés et représentant du personnel de SFR Centre-Est
La roue a tourner !
Vous allez rentrer dans une phase d'incertitude qui risque de durée, et vous allez bloquer vos projets personnels. Pas de "licenciements contraints", cela me rappelle "les départs Volontaires" que vous connaissez bien. Votre petite place douillette depuis plus de dix ans pour certains va être remise en cause, il va falloir passer à autre chose dans un autre bureau avec de nouveaux collègues, il faudra vite s'adapter. Vous avez de la chance vous ne serait pas en mi-temps thérapeutique suite au retour d'un grave accident.
Vos repreneurs ne sont pas des philanthropes, et la 4G n'est pas pérenne d'emploi pour les postes que vous avez pour la majorité actuellement. Rappelez-vous? vos 1900 collègues qui ont été lâché dans la nature, et qui avaient parait-il la chance de pouvoir rebondir, cela à grand renfort de publicité dans tous les médias. Et combien d'autres, des centaines, des milliers, ont été licenciés pour des motifs futils. Maintenant c'est votre tour !
On n'oublie pas ces moments-là, même dix ans plus tard, pour ceux qui vont réellement être touchés, c’est une situation qui vous plonge vers l'inconnu, qui parfois vous marque à jamais. Surtout, prenez garde avant de vous confier à vos élus, vous avez pu vous apercevoir qu'il ne faut pas se fier à n'importe qui, surtout que certains encore vont vouloir sauver leur peau. Moi j’ai été surpris. Hélène PAPILLON, secrétaire de direction débarquée, je m’en suis toujours méfié, elle cherché à se refaire accepté par le nouveau directeur Christophe PALFI, cela à n'importe quel prix. Mais Nicolas de Brabant, lui j’ai été stupéfait d’apprendre qu’il m’avait vendu, alors qu’au même moment il défendait ma cause, et je m’aperçois que lui aussi était conditionné, un vrai moulin à vent, il était rassurant, avec plein de promesses argumentées.
Votre esprit va être accaparé par cet avenir incertain qui vous guette, et qui va durer plusieurs mois, voire plus. Rassurez-vous, une grande majorité d'entre vous aura la chance dans réchapper, mais d'autres comme moi resterons sur le carreau, c'est inéluctable, car c'est avant tout un coup boursier, vous n'êtes que des pions pour ces gens d'en haut, vous ne représenter rien pour eux, ils n'ont pas de sentiment.
Vous comprendrez maintenant, que quand on ce sens, concerné on y attache plus d'importance, car cela vous remues, même le soir en rentrant en famille, les discussions prennent une part importante à ce changement de vie qui va arriver.
Chaque jour, vous allez attendre des nouvelles, vous n’aurez que des nouvelles rassurantes Vos dirigeants sont des experts de la langue de bois, rappelez-vous, le directeur des centres d’Appel qui faisait sa propagande de désinformation sur tous les médias, en vantant les avantages pour ses salariés, une chance de rebondir.
Vos syndicats ont vite laissés tomber les 1900 collégues, ils sont restés face à leur destin et pour une grande majorité à pôle emploi.
Pour les syndicats l'emploi sécurisé est remis en cause à court terme, ainsi j'espère que vos anciens et nouveaux collègues de Lyon, éviteront de voter à nouveau pour vous. Car je ne suis pas le seul dans ce cas, des centaines de personnes ont été licenciées de cette manière. Vous prendrez conscience de vos actes, uniquement sur la parole d'une "brebis galeuse", je n'ai jamais rencontré qui que se soit, aucun ne s'est déplacé pour avoir des informations, tout transité par la DRH, Christine AOBADIA.
Nicolas De Brabant, aprés avoir rédigé ses mails, le 03 août 2006, et aprés avoir assisté à une réunion, prévu par la chargé d'études handicap, le 30 août 2006, pour m'aider à postuler sur un poste moins stressant, sans qu'il ne laisse rien paraitre de sa traitise, celui a ensuite bénéficié d'une formation d'ingénieur d'un an, et a quitté SFR.
Ensuite, il a eu un bon coup de pouce par le mail "assassin", de mon ancien manager, Alexandre Avice.
Voila c'est passé en coulisses sur mon dos, ou sur votre dos. C’est stupéfiant qu’après un accident du travail, auquel je n'étais en rien responsable, et en mission, de plus qui n’avait pas été déclarée, je sois jeté aux ordures, par vos délégués du personnel, qui eux sont tranquillement assis dans un bureau sans prendre le moindre risque, eux aussi n'ont aucun sentiment. Moi aussi j'étais un salarié et qui paie aujourd'hui le dicta de syndicats aux ordres de la direction, pour qui on a voté, et qui détourne leurs rôles de la défense des salariés.
Effarant, aucun délégué, sur les six présents, n'a essayé de me défendre !
Les délégués du personnel ont été à l'unanimité d'accord de me voir partir, me voir licencier, et se séparer d'un handicapé, fait maison. Belle reconnaissance. Tout celà pour faire plaisir à monsieur Christophe PALFI, leur protecteur. Ils n'ont pas pensé un instant que j'avais payé chèrement ce retour de mission, pour m'avoir investi à fond dans mon travail, avec un cota d'heures dépassées (140 heures maxi). Aucune enquête n'avait été diligentée. Monsieur Nicolas De Brabant n'a trouvé aucune trace de mon accident, celui-ci n'avait apparemment jamais été déclaré, a t'elle point que je suis resté plus de huit mois en maladie, après m'être battu avec la sécurité sociale, pour être enfin été déclaré en Accident de Trajet, trouvez-vous cela normal !
Voici en introduction ce qu'il rappelait dans son mail, ce retour dans ce placard qui me condamnait à jamais !
Et voici un extrait de la réunion des délégués du personnel pour statuer sur mon cas.
Une élite que je voulais mettre en avant, pour leur implication, leur bravoure, face au devenir d'un handicapé, fait maison.
Eux au moins, ont-ils conscience de la gravité de leur geste, en me mettant dans le pire des pétrins !
Je ne valais plus rien alors que SFR faisait d’énormes bénéfices. Aujourd’hui, c’est à votre tour, c’est un coup boursier et vous serez un jour les dindons de la farce, même si dans un premier temps, vous semblez être protégés.
Une chose m'interpelle en écoutant les médias, on parle de 8000 salariés chez SFR, alors que le 26 décembre 2012 on parlait de 10.000 salariés, et FO parlait de 2.000 licenciements, la direction parlait de 800, qui avait raison. Ce qui avait fait monter le cours de bourse à son plus haut.
"Citant un connaisseur du dossier, le quotidien précise que la filiale de téléphonie de Vivendi voudrait supprimer 1100 emplois en données brutes, mais aussi en créer 300 dans le même temps, sur un total de 10000 salariés."
https://www.zonebourse.com/VIVENDI-4727/actualite/Vivendi--SFR-reduirait-ses-effectifs-de-800-postes-15548668/
La purge doit continuer en interne, avec "licenciement Volontaire", comme le mien, pour rendre la mariée, belle !
Je n'ai eu aucune aide en interne, voici deux autres exemples :
Celui-ci, encore un représentant du CHSCT, au lieu de me défendre, m'avait gentiment demandé de me projeter vers l'avenir, deux mois plus tard, mon avenir était de finir ma carrière professionnelle à l'ANPE, tout cela pour avoir risqué ma vie en mission, ces Représentants du personnel étaient bel et bien conditionnés, belle reconnaissance.
Un autre, cette fois un salarié de Toulouse, qui a refusé de me donner le lien pour que j'informe la région du comportement de leur ancien Ingénieur, devenu directeur, Christophe PALFI. Pour lui, il avait décidé que mon problème ne concernait pas Toulouse.
Comme on le voit, il n'y a pas que les dirigeants, même certains salariés qui pensent être protégé ne veulent pas se mouiller, ont eux aussi un comportement individuel, loin aussi d'avoir des sentiments pour venir apporter de l'aide.
Pour moi je prendrais mon temps, je ne peux accepter d’avoir été dénigré de la sorte, même sans soutien. j’irais jusqu’au bout pour faire reconnaître la vérité. J'aurais voulu passer mon temps à faire des choses plus interressantes, mais vous m'avez tous empéché de rebondir.
Divers :
Et encore des anciens salariés toujours en attente, dans différents procés avec SFR, voir ci-dessous :
Sur le site http://sfr-lelivre.jimdo.com/
: Procès contre SFR & Téléperformance : nouvelle manœuvre d'SFR qui obtient auprès de la Cour de Cassation la jonction des affaires de Poitiers et Toulouse. Conséquence : report de l'arrêt courant 1er semestre 2014. SFR joue le tout pour le tout !
Un autre blogue, encore des anciens salariés SFR dans la détresse, sur "Le Bog Telecoms":
Retour sur mon blog
http://telecominfo.canalblog.com/archives/2013/11/13/28426881.html
http://telecominfo.canalblog.com/archives/2012/11/14/25578767.html
Ça, c'était avant !
Bonne lecture.
Claude THERY