Black friday au tribunal, Carton plein pour l’extrême droite avec le dépôt de deux plaintes à quelques jours d’intervalle. Celle de Bardella qui a vérifié qu'on ne fait pas d'omelette sans casser au moins un oeuf. On espère que ce ridicule attentat le disqualifiera à jamais et que les enfants lui en jetteront quelques douzaines d'autres. Aujourd'hui une deuxième plainte sur laquelle il n’y a aucun besoin de revenir tant elle est aussi sotte que grenue.
En revanche pourquoi ne pas s'arrêter un jnsrant sur la personne de Sophie de Menthon, une pauvre petite chose qui voudrait bien exister et être reconnue des medias où on lui laisse faire quelques piges avant de la virer. Ne vous moquez pas, ce doit être le drame de sa vie à Sophie Mentheuse. Pourtant issue d’une famille à rallyes, elle collectionne surtout les échecs et les exclusions, Sciences Po’ou présidence du Medef par exemple. Ce n’est pas faute d’avoir multiplié les tentatives mais elle parvient même pas à monter dans un navire que les (gros) rats quittent. Menthon, je n'aurais pas donné cher de ta peau dans une embarcation débordant de migrants.
Agrandissement : Illustration 1
On comprend sa jalousie à l’endroit d’une syndicaliste pouilleuse en pleine ascension médiatique. Dire que je n'ai obtenu un fauteuil au CESE que sur l’intervention de Sarkozy, moi dont le lobby "Ethic patronat" * réussit surtout à être un oxymore ! Maintenant que Sterin finance mon association de loi de 1901 (merci la Gueuse) ça devrait aller mieux. Tiens, "j’aime ma boite " un deuxième oxymore qui rencojtre encore moins d'intérêt que "la fête des voisins" pourrait profiter de l’arrivée de l’extrême droite sur le trône. Il suffit de se rappeler que la fête des mères doit sa réussite la prise du pouvoir par Petain. Ah oui, la plainte. Les tribunaux dont on sait qu’ils manquent d’affaires à instruire devront statuer sur la question de savoir si, en employant l’expression "les rats quittent le navire", la secrétaire générale de la CGT a injurié ces animaux
Les rats de bibliothèque fouineront dans les documents qui relatent le comportement de l’oligarchie française avant la deuxième guerre mondiale et pendant la collaboration quand les rats ee cinémathèque piocheront parmi les répliques cultes du cinéma pour en trouver une qui soit adaptée, par exemple "Touche pas au grisbi salope".
Note à les tiques du patronat : en écrivant "rat" je n'ai jamais voulu caractériser les grands patrons qui, sentant un empuantissement général, s’empressent de détaler pour préserver leurs intérêts. Et que les rongeurs n'aillent pas me coller un procès, j'ai trol de respect pour ces animaux altruistes qui "prévenaient" les mineurs quand un coup de grisou menaçait. Eux, pourraient à juste titre se plaindre d' être mal aimés.
* Sa devise "le pouvoir d’influence, le devoir d’influer". Mais où elle va chercher tout ça ?
** allez, je tente.