Plutôt que de s'entraîner à tirer à la Kalach' histoire de frimer à la fête à Neuneu, les successeurs de la maison Kouachi auraient dû fréquenter l'école de la république. Ils auraient au moins appris à lire une carte, compétence indispensable à qui veut embrasser le métier de djihaddiste, filière exigeante en terme de respect des objectifs. Rappelons que les frères Kouachi avaient dû demander à un quidam où se trouvaient précisément les locaux de Charlie. De quoi se "choper la honte"’ surtout avec une rue comme la rue Appert, propice à la mise en boîte. Certes, Allah guide les pas de ses petites mains mais surtout quand ils utilisent un GPS. En représailles, les soixante douze vierges du comité d’accueil furent attribuées à la doublette Abaaoud - Abdeslslam (De notre correspondant au paradis des martyrs).
Dix ans plus tard, rebelote. Au lieu de se rendre à l'hyper cacher dézinguer peinard la foule des personnalités présentes, ils se sont retrouvés dans un hôpital, à Garches alors que le trajet pour Vincennes était plus court. Est-ce la faute aux travaux du Grand Paris ou à une incapacité à lire un plan, toujours est-il qu’ils ont dessoudé un de leurs alliés objectifs, sous les traits d’un vieux facho (1) . En attendant, voici un dilemme supplémentaire pour Macron. Faut-il faire ou non entrer les deux crétins au Panthéon pour "services rendus à la France" ?
(*) Rappelons aux journalistes que le tortionnaire de l'armée française n'a jamais commis de "dérapage ", n’ayant jamais fait que rendre ses idées publiques.