Charlie Kirk, militant pro NRA (National Rifle Association) mérite le respect pour être allé jusqu’au bout de ses convictions, acceptant de tomber sous les balles autorisées par le deuxième amendement. Le citoyen justicier à dit s'être senti par les propos haineux et d'une stupidité confondante eructes par le bas du front américain. La sagesse des pères fondateurs leur ayant fait préciser que la constitution garantissait à chacun le droit de posséder des armes et d'en faire usage quand on se sent en danger, la cour suprême confirmant la possibilité de s’en servir "notamment dans les cas d'autodéfense" Wikipedia), la relaxe devrait être prononcee dans les heures à venir, puisque l'ahuri techno-crétin de la maison blanche fait courir un risque "existentiel", un terme à la mode, aux citoyens américains comme à ceux des autres pays du Globe.
A qui le tour ? On attend des Trump, Musk, Banon et autres Vance qu'ils s’avancent à la cow-boy, sur l’estrade constitutionnelle, poitrine en avan, pour rendre hommage au courage de leur ami et défier leurs opposants. Il suffirait alors qu'un deuxième tireur made in NRA traine dans les parages pour assainir la puanteur de l'atmosphère ambiante. La tête des maitres du monde, leur sidération, la peur qui se lirait dans leurs yeux de lapin attirés par les phares de l'extrême droite... Bien sûr, ce ne serait qu’un petit plaisir, mais pourquoi s’en priver ? Au fait, où sont-ils passés les experts, les bas plateaux des médias qui juraient que les contre-pouvoirs de la democratie américaine bla bla bla. Aujourd'hui, les mêmes ou leurs collègues affirment qu'il n'y a rien à craindre du front national et ses surgeons d'extrême droite dédiabolises. En revanche, les salopards qui réclament, les innocent, l'application d'une pauvre taxe hurlent au crime de lese-compétitivité et de profit des entrepreneurs et actionnaires.
Entendant le destin de Kirk, nos Retaillleau, Praud, Knafo, Bardella, Soral, Dieudonne et autres Zemmour (et tous ceux que j'oublie ) sont partis se cacher sous l'estrade mentionnée en profitant honteusement de se protection. Comme de vulgaires envahisseurs à la peau basanée. Sur les ondes de France Info, le 19 septembre, une invitée du journal de midi employa le terme de "totalitaire" à propos de Trump. L'animatrice (ne galvaudons pas le terme de journaliste) la reprit La mine contrit et les sourcils reprobateurs. Parlons plutôt d'autoritairisme, nous sommes entre gens de bonne compagnie. En revanche, un traité de protection de la haute mer signé par la moitié seulement des pays de la planète est rrelayé comme étant "une victoire immense pour la planète " mais surtout pour Macron. Pourtant ce n'est, comme la Cop, qu'un bout de papier dont l'utilité n'est pas prouvés, au contraire (*). Mal nommer les choses ...
(*) Fr3 : "Le traité ne détaille pas comment assurer concrètement la mise en œuvre de mesures de protection dans ces vastes étendues éloignées des terres, une tâche qui reviendra à la COP. Chaque État est responsable des activités sur lesquelles il a de toute façon juridiction, même en haute mer, par exemple sur un navire battant pavillon de son pays." Ça calme ...