Avec tout ce qui se dit sur STALINE, j'ai pensé qu'il pouvait être intéressant de faire un petit voyage au fur et à mesure de nos rencntre, et comme par hasard, je suis tombé sur ce apier du journal "Le Monde", le torchon, quotidien de "l'information libre"que j'ai lu pendant de longues années, et que j'ai quitté il y a deux ans; les bribes sur Internet me suffisent amplement
Soixante ans de la mort de Staline : un fantôme omniprésent
LE MONDE | 05.03.2013 à 11h25
En 1991, au moment de l'effondrement de l'URSS, il ne se trouvait plus que 12 % des Russes pour faire de Staline une grande figure historique. Aujourd'hui, la moitié d'entre eux font du "Petit Père des peuples" le champion incontesté des héros nationaux, loin devant Lénine ou Pierre le Grand. Soixante ans après la mort de l'homme qui régna sur l'URSS durant trois décennies et envoya à la mort entre 10 et 20 millions d'individus (sans compter les victimes de la guerre), tel est le résultat d'un sondage de la Fondation Carnegie publié le 1ermars.
Avec l'arrivée au Kremlin de Vladimir Poutine, Staline est redevenu un personnage mythique, victorieux du nazisme en 1945 et bâtisseur "de la société la plus juste au monde (...) et d'une grande puissance industrielle", selon l'un des principaux manuels scolaires. Rien ou très peu n'est dit des massacres perpétrés par une police politique dont le président russe est sifier d'être issu.
Pour les soixante ans de sa mort (le 5 mars 1953), c'est aux victimes de Staline que Le Monde consacre un supplément, plus particulièrement à celles de la Grande Terreur de 1937-1938, lorsque 1 600 personnes étaient exécutées chaque jour. Ces documents exceptionnels, les Russes n'y ont pas accès. Les archives du KGB sont hermétiques et ceux qui s'y intéressent sont soupçonnés de trahison.
Staline est désormais fantomatique mais omniprésent, jamais loué explicitement par le pouvoir, jamais critiqué non plus. Sa mémoire fleurit sans qu'une seule rue ne porte son nom. Les manifestations de cette présence sont rares : un slogan restauré en lettres d'or à la station de métro Kourskaïa de Moscou et quelques portraits sur les autobus au moment des grandes fêtes commémoratives de la victoire contre le nazisme – jours durant lesquels, c'est officiel depuis février 2013, la ville de Volgograd reprendra son nom de Stalingrad.
Les Russes n'ont jamais été aussi libres de surfer sur Internet, de voyager et de consommer, à condition de ne pas faire de politique. Les opposants qui ont osé élever la voix contre la"démocratie dirigée" à l'hiver 2011-2012 sont harcelés. Depuis le retour de M. Poutine au Kremlin pour un troisième mandat, on se croirait revenu à l'époque des campagnes contre le"cosmopolitisme".
Deux mémoires se chevauchent. Staline le bâtisseur de l'empire soviétique fait oublier le tyran sanguinaire. C'est comme si la Russie tout entière était frappée de schizophrénie. L'élite politico-militaire au pouvoir achète des propriétés en Floride ou sur la Riviera tout en fustigeant les "agents étrangers". L'homme de la rue, lui, révère Staline mais ne voudrait à aucun prix se retrouver dans l'URSS des années 1930. En jouant sur la psychologie de l'Homo sovieticus – la peur, le paternalisme, la forteresse assiégée –, Vladimir Poutine prive le pays de son devoir d'inventaire. Difficile demoderniser la Russie avec un tel héritage.
REMARQUE
Ce premier pavé dans le marigot journalistique vaut bien son pesant d'ordure ménagère et de crasse ignorance
Seriez vous à ce point ignorant pour n'avoir jamais entendu de l'immense victoire de STALINGRAD?Vu votre âge, cela se peut
Aucun pays au monde n'a fait une critique aussi radicale d'un de ses dirigeants prestigieux
Mais ce qui est bien plus grave c'est que vous ignoriez l'existence du "Rapport Kroutchev" qui fut une autocritique exemplaire
J'invite les ignares à lire le Rapport Kroutchev, quant aux gens de mauvaise foi, qu'ils restent dans leur...
L'U.R.S.S n'a fait comme aucun autre pays son autocritique, et des tentatives d'ouvertures sincères, avec Gorbatchev.
Résultat des course la bourgeoisie occidentale associée à celle de la Russie s'est engouffrée par la porte ouverte pour mener ses campagnes de PROPAGANDE mensongères et mettre à la place de Gorbatchev un soudard, nommé Eltsine et des dirigeants faisant fortune pour le plus grand bonheur de l'Occident , et bien sûrle leur
L'U.RS.S fut réduite à sa plus simple expression, heureusement Poutine vint pour "sauver les meuble" et redonner à la Russie son rang de grande nation et faire quelques misères à certaines "élites bourgeoises" qui s'étaient trop: gavés d'argent. Quelques uns sont en prison, d'autres ont pris le large
Il est juste et bon que les opposants "les russes blancs" soient remis à leur place, et dénoncés pour ce qu'ils sont; "des agents de l'impérialisme U.S", plutôt des promoteurs de la "démocratie bourgeoise" dont les russes commencent bien à connaître les mérites
Monsieur le journaleux!
Il ne faudrait pas oublier qu'avant la "Chute du Mur", toutes les "belles âmes" pleuraient sur le sort des habitants des pays de l'Est ne pouvant circuler librement, empêchés qu'ils étaient par ce "Mur infâme"
Tout de suite après cet "évènement fêté dans la joie, l'Europe de "libertés" s'est entourée d'un mur de contrôle sophistiqué qui empêche cette libre circulation des personnes et ne favorise que celle des biens!
Aujourd'hui le "Mur du Rideau de Fer" me fait penser à une clôture de jardin
Ce n'est pas essentiellement l'élite politico- militaire qui se dore à la Riviera, mais ce sont quelques chefs d'entreprises et cadres qui se sucrent à la façon dont cela se fait dans nos démocraties, d'une façon même un peu plus modeste que chez nous! Il se trouve souvent que les nouveaux riches s'affichent souvent d'une façon tapageuse!
Quant au peuple russe il n'a pas grand "'chose à envier au peuple des U.S.A où un tiers vit sous le seuil de pauvreté
Pour ce qui est de la prise de conscience d'un peuple, des erreurs et crime de ses dirigeants, la France est bien mal placée.
Il faut se souvenir que Napoléon Bonaparte, les grands conquérants de l'Empire colonial restent des idoles, et sont encore pris pour des modèles, par un certain François Hollande qui a inauguré son quinquénat avecx un hommage appuyé à Jules Ferry, surnommé par certains mauvais esprits; "Le tonkinois".
Sans trop parler de la crapulerie de Mitterrand dans la guerre d'Algérie, et on ne peut oublier qu'après ses crimes de guerre, il a été élevé au rang de Président
Il est juste et bon que le peuple russe prenne ses affaires en mains et ne se lasse plus monter le bourrichon par la PROAGANDE venue de l'OUEST où les peuples se font écraser, plutôt bouffer par les rapaces capitlistes qui se présentent comme leurs bienfaiteurs