Tondelier l’a dit l’autre jour. Et elle s’est fait couper la parole et même insulter. Sur le service public.
« Nous sommes en déficit, « Vous pensez qu’on peut trouver d’autres solutions que de de travailler plus longtemps, elle a répondu OUI. Les syndicats en ont, la gauche et les écologistes en ont », et le gouvernement et les patrons refusent de les regarder. (…) Au nom de l’économie on met tout le pays en situations de blocage absolu, qui pénalise les entreprises qui ont du mal à remplir leurs carnets de commandes, qui repoussent des embauches, donc c’est mauvais signe pour l’emploi et on parle beaucoup des entreprises mais il y a aussi les associations qui sont dans un manque de visibilité terrible. Ce dont ont besoin les associations et les entreprises, c'est de prévisibilité. C'est de savoir dans quel monde elles vont évoluer. Et la base de la politique c’est de leur permettre cela. Et les macronistes bloquent ce pays depuis plus d’un an maintenant, ils nous font tourner en rond, sans solution, parce qu’ils font de l’obstruction. Il est temps que ça se termine.
22’40 : Question d’Abel Maistre : Vous vous définissez comme un trait-d’union entre les forces de gauche
Réponse – MOI JE NE SUIS PAS UNE PONCTUATION. Je suis un moteur énergisant 100 % renouvelable !
Et toc !
25’30 Ma ligne politique est écologiste. Sans ambiguïté. Et ma ligne stratégique, sans aucune ambiguïté, est antifasciste. Quand l’histoire l’exige, les écologistes travaillent avec tous leurs partenaires à dépasser ces difficultés, et c’est ce que qu’attend le peuple de gauche et de l’écologie."
Mélenchon aussi l’a dit hier. Et il s’est fait couper par le petit Duhamel de service qui ne cherche qu’à le faire sortir de ses gonds pour qu’ils puissent dire après que Mélenchon n’aime pas les journalistes. Un journaliste celui-là ?
Pour commencer, Mélenchon a dit, et c'est tellement important :
« M Demorand, si vous me le permettez, mon premier mot sera pour m’associer au bonheur que ressentent les familles qui vont retrouver ou des prisonniers ou les otages. Et pour nous, les Français, qui avons été si impliqués, de cœur, d’esprit, dans tout ce qui s’est passé. Il faut que cette journée soit une journée de joie partagée, mais aussi de méditation, et pour ceux qui sont croyants, de prière, pour nos morts et la fin de cet affreux massacre qui dure depuis deux ans. Puissions-nus enfin, sortir de là et bien comprendre que -moi je l’avais dit le premier jour, peut-être par expérience, que de tout temps, la violence ne produit que de la violence. Jamais aucun conflit n’a été réglé par la guerre, il n’a été qu’envenimer. » Le reste est à voir ici.
Il a parlé de justice sociale et d’écologie aussi.
13’ 06 « Comment et où faire des recettes supplémentaires ? Ce n’est pas notre manière de voir les choses. Nous croyons qu’il faut choisir entre deux options. Fondamentales qui sont posées dans le monde entier, depuis que Monsieur Trump a décidé d’en changer les règles du jeu avec l’abolition de la libre circulation des marchandises. Donc, est-ce qu’on continue comme avant, la politique qui nous a amenés jusque-là, ou bien, est-ce qu’on en change. Nous sommes partisans d’un changement, avec l’idée d’un changement global de l’ordre économique. Autrement dit : pour remplir les caisses de l’Etat, il n’y a pas que l’impôt et les coupes du service public, il y a la relance de l’activité. Donc il faut relancer l’activité, par des investissements économiques. Est-ce que vous préférez l’économie de l’armement ou l’économie de développement écologiques. Ce sont deux domaines d’investissement incompatibles l’un avec l’autre. Vous ne pouvez pas faire 5% du produit national passant dans les armes et 5% dans l’écologie. Ça n’est pas compatible. Il y a donc une vision d’opposition entre deux ordres global. (globaux) ?» Jean-Luc Mélenchon. 13 10 2025 sur France Inter.
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