Le dégueuli raciste déversé quotidiennement par les médias Bolloré (Cnews et europe1 en tête) fait partie du paysage repoussant des médias nationaux. D'autres viennent compléter ce tableau écœurant. RadioJ est un exemple de l'allégeance d'un media aux intérêts d'un État étranger, Israël en l'occurence, diffusant fausses informations et insultes ignomigneuses sans frein.
Le service public s'y essaie également par moments (voir la séquence, cas d'école, bouillaguet-bompard!).
Le laisser-faire des pouvoirs publics ne relève pas de la négligence mais illustre la fébrilité des oligarques face à la montée des mécontentements populaires conséquences des politiques d'appauvrissement des travailleurs et de leurs familles. La propagande doit permettre de détourner l'attention, de façonner une pensée collective détournée des réalités économiques, notamment la prédation des oligarques érigée en politique d'État.
Les quelques médias indépendants du type mediapart.fr, le média, blast, etc. font un travail indispensable mais avec des moyens financiers bien faibles face aux milliards dont disposent les porte-parole de la bourgeoisie, de droite extrême ou d'extrême droite.
Les efforts de mutualisation des moyens des médias indépendants peuvent être une piste pour accroître leur audience. Mais, comme semble l'avoir montré la campagne électorale du nouveau maire de New York, le travail de fourmi des militant.e.s politiques, le porte à porte, les réunions de quartier, les distributions de tracts suivis d'échanges individuels, etc. reste un des vecteurs importants de la diffusion d'une analyse politique critique.