Le ballet des faussaires, des délateurs, des collabos, des réacs et des fachos ne fait que s'amplifier. De Autain qui offre son corps à la gauche, de Glucksmann qui conchie Mélenchon à Le Pen qui magouille avec Macron pour éviter l'inégibilité, tous ont une obsession, LFI.
Le populaire n'a rien à gagner dans cette surenchère de médiocrité. La crise actuelle du système, qui peut nous conduire à la guerre, mérite un dispositif politique radical et cohérent.
LFI, quoique non communiste au sens marxien et non au sens caricatural de Roussel, est la seule force politique permettant de limiter les dégâts provoqués par, au moins, 40 ans de libéralisme sans retenue.
Les opportunistes de gauche à la Autain, les libéraux masqués, à peine, à la PS ou à la Glucksmann, sont des impasses pour la lutte à mener contre les oligarques. Les autres en sont très explicitement les complices.
L'enjeu, considérable, est de lutter contre ce déferlement idéologique qui semble sans limite et qui vise à discréditer toute issue humanistes, internationaliste, pacifiste, dont l'humanité à un besoin urgent.
Le rapprochement des bonnes volontés syndicales, associatives et politiques partageant la conviction de la nécessité de la rupture avec le libéralisme doit être une priorité. LFI doit s'ouvrir à cette nécessité.