Cadeau d'une nature généreuse, loin des cités et du bitume, nous partons en quête d' une plante préhistorique qui avait la taille d'un arbre au temps des dinosaures. Médicinale que rien ne distingue des mauvaises herbes: La prêle (Equisetum Arvense) dite aussi queue de chat ou herbe à récurer.
Cadeau d'une nature généreuse, loin des cités et du bitume, nous partons en quête d' une plante préhistorique qui avait la taille d'un arbre au temps des dinosaures. Médicinale que rien ne distingue des mauvaises herbes: La prêle (Equisetum Arvense) dite aussi queue de chat ou herbe à récurer. Dépêchons nous, elle commence à passer en ce début octobre. Elle se fait discrète, aime les zones humides et ombragées. Son fort taux de silice en fait une bon remède contre les maux d' articulations. La lumière décline en tonalité chaude dans l'air doux d'un été que l'on dit indien. Peut être en mémoire de ces chefs sioux pour qui la mère nature méritait le plus grand respect.
« ...Et puis le dernier bouillon-blanc égaré dans le renouveau du gel avec sa pâle mémoire d'été, torche falote, et en dessous les armés blanches et noires du solstice des profondeurs. » P.Lieuthaghi
Le Parlement belge a entamé voilà deux ans un travail historique d’ampleur sur son passé colonial. Il s’ajoute à des initiatives locales sur la décolonisation de l’espace public et à une loi sur la restitution des biens spoliés. Y a-t-il des leçons à en tirer pour la France ?
Dans un contexte de débats nourris autour de la restitution des biens spoliés durant la colonisation, la dernière livraison de la revue « Politique africaine » éclaire quelques angles morts des discussions autour de ce patrimoine, parfois oublié, souvent dépolitisé.
Depuis plusieurs jours, une querelle oppose oppose des associations LGBTQI+ et Raphaëlle Rémy-Leleu, élue EELV de Paris. Les premières reprochent vertement à la seconde ses positions sur le travail du sexe. L’écologiste dénonce un « harcèlement » injuste.
Désastre économique, humanitaire, droits humains attaqués… Un an après avoir rebasculé dans les mains des talibans, l’Afghanistan n’en finit pas de sombrer. Pour la minorité LGBT+, le retour des fondamentalistes islamistes est dévastateur.
Comment, par les hasards conjugués de l’Histoire et de l’amitié, je me retrouve devant un tombereau de documents laissés par Céline dans son appartement de la rue Girardon en juin 1944. Et ce qui s’ensuivit.
Dans ses lettres, Céline accuse Yvon Morandat d’avoir « volé » ses manuscrits. Morandat ne les a pas volés, mais préservés. Contacté à son retour en France par ce grand résistant, le collaborateur et antisémite Céline ne donne pas suite. Cela écornerait sa position victimaire. Alors Morandat met tous les documents dans une malle, laquelle, des dizaines d’années plus tard, me sera confiée.
La veuve de Céline disparue, délivré de mon secret, l’heure était venue de rendre publique l’existence du trésor et d’en informer les héritiers… qui m’accusèrent de recel.
Depuis longtemps les « céliniens » cherchaient les documents et manuscrits laissés rue Girardon par Céline en juin 1944. Beaucoup croyaient avoir trouvé la bonne personne en un certain Oscar Rosembly. Un coupable idéal.