Courez…Courez ..Jolis destriers….
C’est totalement atypique d’écrire dans un journal aussi sérieux que MEDIAPART un billet sur le monde des chevaux trotteurs… et pourtant ils existent, ils participent à l’économie et pour le moins, ils sont le bleu du ciel lorsque celui-ci assombrit notre quotidien.
Il ne faut pas être riche pour posséder un trotteur, il faut aimer les chevaux, les aimer vraiment et être convaincu que ce n’est pas l’argent qui vous motive, que ce n’est pas la gloire qui vous motive, que ce n’est pas le pouvoir qui vous motive mais seulement le courage et la volonté de parvenir à une certaine forme d’accomplissement de sois- même en compagnie de ce que l’on nommais il y a quelques décennies « la plus belle conquête de l’homme »
C’est difficile de devenir l’ami d’un cheval de course, parce que très vite il comprendra ce que vous attendez de lui, alors il prendra naturellement l’attitude qui fera de vous son dépendant alors que vous vouliez être son maître.
Certes, un cheval ne parle pas, mais il s’exprime et quelques fois de si belle manière que vos pieds, vos mains ou d’autres parties de votre anatomie s’en souviennent.
Non, ce n’est ni une rubrique sur le monde équin, ni une rubrique sur les courses de chevaux, mais un simple clin d’œil à tous ceux qui oeuvrent chaque jour pour le bien- être des chevaux qui font le bonheur des parieurs lorsqu’ils gagnent et qui sont détestés de tous lorsqu’ils perdent.
Vous penserez tous que quelques subtilités ou quelques similitudes se sont glissées dans ce billet ! Il n’en n’est rien, mon propos n’induit aucune métaphore.
Par contre, certaines idéologies ont oublié que nous appartenons au monde animal dont fait partie le cheval que nous avons parait – il dompté…..ce qui est faux j’en témoigne.