Dan notre aujourd'hui, avec les mots et sons-images qui se bousculent ; avec les évènements qui s'accélkèrent et se miltiplient, nous avons mal à notre parole...
Et, à cela, pas de remède.Le langage est ce qu'l est, une source inépuisable et à affluences nouvelles incessantes. C'est comme çà, et c'est aussi tant mieuxparce que le langage apporte aussi inventions, découvertes, créations ; d'où renouvellement incessant de nos actes et de nos pensées ,en même temps que renforcement des "ornières", freins, obstacles. D'où accidents, et même drames...
Pas de remède, seulement des mesures prophylactiques mangeuses de temps et d'énergie...sans certitude de résultats, toujours à continuer et reprendre. Prise de distance, changement d'angles de vue et de paires de lunettes...
Uj point particulierme frappe maintenant : le "ni trop, ni trop peu". Sur le "trop peu, j'ai beaucoup dit ici.Le smiley ou la rangée d'étoiles, le qualificatif isolé gentil ou méchant, nous en voyons chaue jours les vices et les dangers.
Mais oùest le "trop"? J'en rencontre tous les jours. Dès que j'ouvre Mediapart, je medemande combien l'aujourd'hui fait de lignes de 50 caractères...et je sais que je ne pourrai toiut lire.D'autant que, comme chacun, j'ai aussi mes livres et mes journaux, ma radio et ma TV, mes proches et mes voisins...Et le billet ou l'édition passionnant(e) et interminable , "piraté(e)" par le p'tit déj', le "T'asensé aus biscottes?", le cri d'un bambin sous mza fenêtre, un oragequi me bousille la réception, etc...
VIeux grognon? Oui, mais je continue à essayer de nager dans notre déluge commun...et écjhanger deux mots ve des qui ont la chanc de sortit un peu la tête...
Allez, on fera ce qu'on pourra. Mais n'essayon pas de nous noyer les uns les autres , c'est trop bête...