Tout un tas de "détails" génétiques et historiques ont dû se produire pour que nos ancêtres commencent à,parler :
-la libération des mains par le bipédie et l'abandon de la sylve tropicale pour les "forêts-couloirs" au long des cours d'eau:on parle d'abord avec les mains...
-le redressement du larynx, la cavité buccale devenue éinstrument modulable" (dents alignées, lèvres mobiles, ,langue, etc...
-la diversification des milieux de vie, des fabrications, des rencontres
ET puis, très vite sans doute, se sont combinéeds sons, exprerssions faciales, attitudes gests, toutça porteur d'innombrables significations possibles...et entre lesquelles on ne peut être sûr de bien choisir.
Ajoutons-y (mais l'écrit l'a aussi) le fait qu'on "ne parle pas pour ne rien dire": les intentionnalités.
BON? ON PARLE ET ECRIT AVEC DES MOTS...
Mais c'est quoi, un mot?
-le mots "fauteuil" n'es pas un fauteuil (fameuse dichotomie signifiant-signifié)
- mais, oh!le mot "mot" est un mot...Alors?
-tous les mots sont des "choses", (sonores ou visuelles)
-un mot est une information, une "indication" (tiens, voilà l'index qui se pointe...et peut-être montre la lune)
CHAQUE MOT DIT A LA FOIS SI PEU ET TANT DE CHOSES...Pas étonnants, les fourvoiements...
Traîtres, les mots, même écrits...mais les mots dits...
-ont des variantes touffues de prononciation ("accents" régionaux, prononciations volontairement changée)
-des variantes de "timbre" (sonore, criard, étouffé, étranglé, susurré, etc...
-des variantes de scansion (débit, avec ralentis et accélérés, silences, "accent tonique", etc...
PAS SOUVENT,Q'IN PARLE CLAIR...
...et le corps s'associe à cet obscurcissement et lze renforce (moue, sourire en coin, clin d'oeil, détournement, geste de la main,voussure confidentielle ou redressement proclamatif, etc...
MAITRISE DE CES COMPOSANTES ,CAPACITE DE LES REPERER?,LES INTERPRETER ...compte tenu de la situation, des personnalités,du sujet...il y en a , des savoir-faire et des savoirs
On,le sait bien, qu'on paut impressionner, calmer ou mettre en rage, tromper, amuser, attrister, , avrc des paroles...Mais s'arme-t-on assez? pense-t-on àaux armes, aux pièges, chaqsue fois qu'on écoute ou entend?
L'écrit a aussi ses pièges, mais il permet des "pauses", des "retiours", des "recours à plus d'information". L'écriture, la lecture, sont moins "fragiles" que l'oral...
D'innombrables auteurs seraient à citer...