-la "vulgarisation", une activité de plus en plus nécessaire : l'éclatement des spécialités scientifiques et technologiques, la multiplication d'o jets de "high tch", la diffusion d'un vocabulaire abondant, et dans lequel se mêlent des significations scientifiques ou techniques, et des vocables ou signes commerciaux, le poids des idées d'innovation et de progrès ,s'y conjuguent .
- les mobiles et retombées économiques et politiques "plombent" la vulgarisation, et une formation personnelle devient nécessaire pour résister avec intelligence.
-même les meilleures vulgarisation souffrent des mêmes maux opposés : les réductions, enfr$ermements dans une spécialité ; un mélange sans rigueur entre items scientifiques et mots et idée "du quotidien".
- les formes les plus fréquentes: émissions de médias divers; magazines spécialisés...ou comportant une "page de vulgarisation, librairie, actkons d'enseignement.
- les "bénéficiaires", souvent, "résistent", bloquent l'information,traduisent selon leurs standards personnels , utiliosent un vocabulaire "en écho", sans souci critique.
Les échantillon fournissant un matériel d 'examen critique sont innombrables .Je peux en proposer dans le "fil' de c billet.
- parmi les types d'actions qui pourraient être favorables à une "éducation à la vulgarisation , je propose:
. des ateliers hétérogènes de lecture , où diverses interprétations et pronets d'utilisation d'un texte mourraient s'élaborer. Par exemple, au sein d'une association, une "semaine de la vulgarisation"
. des temps d'examen durant la scolarité obligatoire , disciplinaires et/ou interdisciplinaires.
. des "breaks" dans les conversations ordinaires, consacrés à l'éclaircissement d'un mot, d'une idée
-la publication de "thesaurus" permettant de relier un mot à divers domaines