exemple concret...qui paraît hors sujet- :calculer
Le mot vient des "calculi" (cailloux) qui servaient ans l'antiquité à dénombrer, pour les beaoins du commerce, des mises en réserve, des distributions, etc..DRans d'autres civilisatgions, on s'est sertvi de noeuids sur des ficelles (quipu), de petits coquillages, de bouliers, etc...et aujourd'huii de programmes informatiques..
Or : "calculer", c'es( obligatoirement fausser, parce que cela suppose toujourrs des "dénombrements"d'"éléments" identiques (unités). E3- nous savons, aujourd'hui, qu'il n'existe pas, dans tout l 'univers, deux "identiques" (même des quarks..).
Les "dénombrements" et "énumérations" dépassent vite les capacités de la vue...Alors, on a inventé des "hiérarchies" des "rangts", ,et convenu_ de signes pour les représenter : "chiffres", 'symboles" divers ...ce qui a permis de les "écrire", d'en conserver une mémoire hors cerveau, accessible à tout "lecteur". On a choisi des "modulo" pour les "rangs" successifs . Notre numération "décimale" a représenté "dizaines", centaines", milliers", etc...ou "dixièmes' ,"centièmes", "millièmes" par l'ordre de succession de chiffr'es "avanjt" ou "après" la virgule. Elle a "copié" le nombre de doigts des deux mains. D'autres "modulo" ont été choisis pour loa commodité du nombre de leurs "diviseurs". La douzaine a été vite retenue (diviseurs 1,2,32,4).A1ujourd'huui, pour la mùêsure du tem)às ou des angles, on utilise des unités "sexagésimales" (60 a pour diviseurs 1,2,3,4,5,10)
D'autres inventions : les "opérations".Celles de l'arithmétique élémentaire, les deux couples "plus, moinjs" ,et "multiplié par, divisé pat", rendant rapides et sans fatigue les mùanipulations de "calculi", rendant possibles les "calculs" sur des quantités monstrueuses d'unités.. D'autres "opérations" ont étré imaginées : par exempkle "pûissance" et "racine" Les "algèbres" rendent encore plus rapides et puissantes les opérations, grâce à de nouveaux symboles (souvent alphabétiques).
Tout cela , ce sont des "oeuvres" de la pensée. Les signes n'ont de réalité que celle de leur tracé, ou énoncé.Et pourtant, comme le langage, ils ont donné une puissance prodigieuse à notre espèce_pour le mùeilleur et pour le pire.Le meilleur, c'est que la formulation d'une "problématique pertinente" rend sûres et puissantes les pratiques quiç l'utiliseront. Le pire, c'est qu 'aucun calcul ne garantit l'emploi responsable et éthiquement souhaitable de ces pratiques.
Et nous voici revenus à "l'étroit" des pratiques même "sophistiquées", et au "large" nécessaire à toute pensée qui ne soit pas dangereuse ou criminelle.