L'auteur ne dit ps le nom du pâys, seulement celui de son souverain, Numa. Première inattention: pour unpêrsonnage imaginaire,choisir le nom d'un personnage historique (Numa Pompilius)! Je proposerais bien à l'auteur, pour éviter les réactions critiques, de changer ce nom...pourquoi pas Manu?
Dans le livre, Numa institue le "permis de vivre", qui donne son titre à l'ouvrage . C'est- un document dont chaque habitant est pourvu dès sa naissance ,et dont les données seront archivées après sa mort.. Le permis est- échéancé ,pour une durée définie par "spéranss devis", nombre remis à ,jour tous les deux ans par un Institut à ce dédié.
Mais cette échéance "primaire"peut être modifiée de deux façons séparées. La première est un "tirage au sort" :spéranss devis, rapporté au chiffre total de la population , fournit une "fréquence des décès". Si, par exemple, il meurt un concitoyen, en moyenne, toutes les dix minutes , la Société des Jeux du pays effectue un tirage, six fois par heure , et les "gagnants" sont exécutés de façon sûre et indolore.. Deuxième type d'intervention: plusieurs instances peuvent distribuer des "points" de bonus ou malus. Namu, le gouvernement, l'administration, la police, la justice, ont chacun un quorum de points à répartir chaque année.La distribution de ces points est régie par des lois et règlements.
Chaque année, le gouvernement vote le "chiffre minimum de validité du permis" qui permet à chacun de continuer ,ou pas.
Le livre conclut cette utopie , en remarquant que , sur le problème n° 1 que chaque personne doit affronter chaque jour il est important de sr'organiser socialemùent ,; plutôt que rester tributaires d'innombrables "facteurs" difficiles à cerner ,,observer, et dont il fauidrait calculer mes interactions enchevêtrées.
Pour moi, j'ai remarqué le style"alerte" de l'auteur.
Qu'en dites-vous, amis Clubistes?