Ce que l'on a appris depuis peu, c'est que les plus anciennes espèces vivantes modifiaient déjà leur environnement.
Le rôle des algues bleues dans l'enrichissement de notre atmosphère en oxygène , qui a permis la survie d'espèces "respirantes", a été très important. Aujourd'hui, c'est la vie des plantes à chlorophylle qui aide ces espèces à perdurer. Ert les déjections de cettaines espèces du passé a permis à des espè_ces coprophages d'apparaître et se maintenir.
Côté cosmologie, on a découvert que les 5% environ de l'univers que nous pouvons observer et étudier (95% de "matière et énergie noires") a, lui aussi, évolué, et continue,. A un rythme bien plus lent que la vie, mais à une échelle immensément plus grande. Pas d'incidence, pour le moment, sur les questions écologiques.
Par contre, sapiens a accéléré et augmenté son action sur son environnement, de façon suicidaire.
Je souhaite que notre espèce "sapiens", non seulement continue d'apprendre, d'inventer toujourfs plus , mais se conduise de manière plus responsable envers elle-même et envers son habitat.