Je pense n'être pas ler sedul à me demander comment "faire tenir ensemble" ced que crois savoir...Mais on ne se questionne pas sans arrêt là-dessus :on fait appel à telle ou telle "chose connue", à la demande. Il arrive aussi, trop souvent, que, parlant avec des gens, on s'aperçoive qu'ils ne "fonctionnent" pas comme vous, côté pensée..D'où incompréhensions, disputes...
Il est intéressant, donc, de se demander comment on "architecture" sa pensée...et aussi, comment un autre paraît le fairfe pour la sienne..
Travail pas si facile que'il ne peut sembler. des obstacles, des pièges partout. On croit se comprendre parce que'on parle la même langue, qu'on emploie les mêmes formules. Voici où je'en suis de mes laborieux efforts de lucidité :
1.Tout ce quii est, est dans le temps. Objet, personne, mouvement, changement, idée, etc...Ce qui est a eu un commencement, pas toujours clair et connu.mais "être", c'est être apparu. On est moins sûr que tout a une fin :nous occupons si peu de place dans le temps... Le temps "s'écoule" dans une seule direction : c'est une dimension particulière. Les savantrs nous disent que, tel que nous le connaissons, iil a eu un commencement :le fameux Big Bang .Le Big Bang n'a pas d'"avant"., ni "dailleurs", ni "d'autre chose". Notre regretté ami, Albert Jacqard , disait qu'in peut se repérer en "logarithme de mesure du termps ; zet log.0 = infini...Et y aura-t-il une "fin du temps"? DFifficile de l'imaginer, ailleurs que dans une métaphysique, une croyance; pas un savoir.
2.Selon les physiciens, le temps semble avoir généré l'espace. Ou bien, ils ont un commencement commun.Einstein , et d'autres, parlent de "quatre dimensions de l'espace-temps".Pour mopi, l'espace est une dimension, avec des repères qui peuvent varier, et pas obligatoirement cartésiens . L'espace, disent les scientifiques, ne cesse de "s'agrandir"., est en expansion : c'est son évolution temporelle, depuis ce satané Big Bang. Réterécira-t-il? Y aura-t-il un Bog Crunch? Ou bien, est-ce notre pensée "binaire d'exclusion" qui nous le fait imaginer?
3. Mon eréel est incomplet, si je n'y range pas une autre "dimension" : l'énergie. L'énergie était présente dans le Big Bang , et elle a dynamisé les auteres dimensions. Elle est mère des évolutions :déplacements, apparitions et disparitions, transformations.L'énergie se déploie, selon seeux faioons de'être : ondes, paertricules.La "matière" n'est que formes paerticulièeres d'énergie.
4. Nous avons des routines de "repérages", de "dénombrements", de "mesures" .Et des inventions de nouvelles façons d'y procéder. Nous repérons et mesurons le temps et l'espacede l'Univers selon des critères étroitement terrestres, aujourd'hui encore (l'année-lumière!).La science a adoptéd des unités plus précises, physiques et non plus géocentrées. Ce qui nous a permis d'apprendre que le temps est unidirectionnel, que les "cycles" ne sont qu'approximatifs ...et temporaires.
5. Nous avons appris que "le continu" n'existe pas ailleurs que dans notre pensée symbolique.Temps, espace, énergie, ont des minima, au-delà desquels in n'y a plus de réalité (les "nombres de Planck").Dur à avaler...mais tout ce que l'on fait, tout ce que l'on fait, obvlige à accepter qu'il en est ainsi.
6. Une derniere "dimension" de mon univers d'idées est une caractéristique "universelle" du réel : le double mouvement de complexification-décomplexification. Le caractère "discontinu" reconnu au eréel entraînel'idée de "bribes", "miettes", comme les "particules subatomiques.. Ce sont des "assemblages" et des "fonctionnements en unités composées" des particules qui rendent impossible de se limiter aux aspects physiques du réel pour y comprendre quoi que ce soit.. Les phénomènes physiques, par ces assemblages et fonctionnements en "unités" diverses, acquièrent une nouvelle dimension, "chimique".Une diversité accrue d'unités composées, du nombre et des configuration des relations entre éléments assemblés , qui va connaître un nouvel "étage de complexité, sur notre Terre, l'écvolution physico-chimique "engendrant", au cours d'une complexification toujuors accrue, l'évolution biologique. Et notre survenue a, depuis, superposé à ces trois "étages de complexité" un quatrième, celui de l'évolution culturelle Le mouvement de complexification entraîne l'apparition de phénomènes hautement "improbables". Mais, en même temps, des asseermblages se défont, des liens disparaissent, des "unités" éclatrent en composants séparés. La physique appelle cela "entropie"., phénomène universel. On parle, donc, pou la vie, de "néguentropie".
Ce sont ces six "points de vue" qui me rendent possible une certaine cohérence de mes idées..Bien sûr, mes semblables ont beaucoup d'autres façons de "s'y retrouver", à me dire ou à découvrir, sans qu'il y ait, là-dedans , de jugements de "juste" ou "faux".
stiques