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Billet de blog 13 août 2012

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Pourquoi Mediapart est pour la guerre en Syrie et soutient l'ALS contrairement à son lectorat? sionisme aveugle ou aventurisme?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

La seule question qui m'intéresse 

en temps qu'abonné depuis le début de l'aventure de ce site et avant de le quitter définitivement : pourquoi la Rédaction contrairement à toute attente et contre son propre lectorat soutient le djihadisme d'al-qaeda, contre le peuple syrien?.

Pourquoi, comme les ex "nouveaux philosophes", BHL et Gluskmann, connus pour leurs impostures et leur haine du monde arabe et musulman,et des palestiniens,  le journal  qui se vante d'être un journal de gauche, a les mêmes positions colonialistes et impérialistes que l'ensemble des ennemis du monde arabe?

Pourquoi ses lecteurs ne le dénoncent pas clairement ?

Pourquoi la rédaction de Médiapart sera demain pour une intervention illégale des puissances de feu que sont les USA et l'Otan?

Est-ce cela le journalisme?

Monsieur Plenel forme des journalistes semble t-il?

Fera t-il demain, des jeunes gens, qui sont passionnées par ce métier, des aventuriers-menteurs, qui vantent les guerres dans le proche et moyen oreint.

Le syndicat des journalistes est -il d'accord avec les options militaires de ce journal?

Quelle cause défend Médiapart dans cette guerre contre le peuple syrien?

Que dit le silence des lecteurs de Médiapart sur leur journal et cette Imposture journalistique, et que disent leurs lâchetés?.

Des moutons, comme l'Opinion, derrière leur rédaction et continuent de soutenir un journal qui par son engagement dans cette guerre en Syrie, eux aussi  sont responsables de la mort des syriens.

Pas une fois, Mediapart n'a douté de son engagement dans cette aventure guerrière, pas une seule il ne s'est posé la question sur les mensonges des médias dont il fait partie, et sur les informations douteuses, qui parviennent du Qatar et d'Arabie Séoudite, et des services américains, britanniques et français.

Médiapart est-il un organe de presse d'Etat?

Comment se fait-il que Médipart a des lecteurs-blogueurs qui font la chasse aux lecteurs qui ne pensent pas comme leur Rédaction, pratiquant les méthodes les plus fascisantes, contre ceux qui veulent engager un  débat et poser des questions sur les dérives du journal?

Au delà des insultes, ils traitent leurs ennemis politiques de fous et d'aliénés, comme du temps des camps d'internement dans les dictatures connues, pire que celles qu'ils dénoncent eux-mêmes, forme de terrorisme intellectuel, pour faire taire les gens?

Les pourfendeurs d'hier, sont les tartuffes d'aujourd'hui, hier contre les pires politiques de droite et populiste en France, ils sont devenus les complices des mercenaires armées, d'idéologues populistes dans le monde arabe, derrière les monarchies, qu'ils dénonçaient hier, du temps de Sarko.

Pourquoi ce revirement soudain?

Nous n'avons pas entendu les syndicats des journalistes français dénoncer leurs collègues et rédactions quand aux pratiques honteuses, de leurs collègues, devenus des agents de communication des chancelleries occidentales: toutes les dicatatures ont vu leurs journalistes s'affranchir des tutelles d'Etat, ont payé de leurs vie mais en France, grande démocratie, donneuse de leçons, on continue à pratiquer le journalisme de papa.

Quelles volontés politiques et d'Etat motivent les rédactions françaises à suivre l'ALS et les monarchies arabes, grandes alliées des administrations américaines et européennes, qui sèment la mort depuis quelques décennies déjà dans le monde arabe et le monde musulman?

Par leur travail honteux, ils n'aident pas leurs concitoyens à comprendre et s'informer correctement sur les affaires du monde et les enjeux internationaux, et qui aujourd'hui, interrogés par les instituts de sondage, ne savent même pas quoi penser de cette guerre, et se proncent comme des analphabètes pour des options, comme l'engagement de la France en Afghanistan, pour des guerres qui ne les concernent pas directement

Syrie : les Français pour une intervention de l'ONU... mais pas de la France

Publié le 11.08.2012, 18h44 | Mise à jour : 20h10

La bataille pour le contrôle de la ville stratégique syrienne d'Alep continuait à faire rage samedi entre soldats et rebelles, non loin de la frontière avec la Turquie où la secrétaire d'Etat Hillary Clinton s'est engagée à «accélérer» la fin du régime syrien. | AFP/Phil Moore

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Alors que la bataille pour le contrôle de la ville d'Alep continue à faire rage entre les soldats de Bachar al-Assad et les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL), 52% de Français se disent favorables à une intervention militaire des Nations Unies en Syrie, mais une plus nette majorité, 61%, se disent hostiles à un engagement militaire de la France, selon un sondage Ifop* à paraître dans «Sud Ouest Dimanche».



52% se disent favorables à une intervention, soit un recul de six points par rapport à la même question de l'Ifop en mai dernier. Mais une proportion stable (52%) par rapport à juin. Les hommes (54%) sont plus en faveur d'une intervention militaire que les femmes (51%), et les sympathisants de gauche (64%) nettement plus que ceux de droite (42%). Les sympathisants du Front national sont les plus résolument hostiles (71%). Mais une intervention des Nations Unies paraît très peu probable, en raison notamment des positions prises par la Chine et la Russie au Conseil de sécurité.

Une large majorité de sondés ne veut pas d'intervention française


A la question de savoir si la France devrait s'engager, dans l'hypothèse d'une intervention militaire onusienne, la réticence est marquée: 61% des Français ne se disent pas favorables, et 39% favorables. Chez les sympathisants de gauche (55%) comme de droite (64%), une nette majorité se dégage contre une participation de la France. Les sondés proches du Front national sont là encore les plus opposés (80%).

Ces résultats, poursuit l'institut, «sont comparables à ceux enregistrés avant le déclenchement de l'intervention en Libye (36% en mai 2011)», même si l'opinion avait basculé ensuite par «réflexe patriotique et devant les premiers résultats positifs des frappes aériennes, dans un soutien très majoritaire à l'opération».

Par contre, ces résultats sont «très en retrait du niveau d'adhésion qui prévalait à la veille de l'envoi de troupes françaises en Afghanistan (55% d'adhésion en octobre 2001) au Kosovo (58% en avril 1999) ou en Bosnie (68% en mai 1994)», note l'Ifop.

Les agents-kapo du journal sont priés d'aller voir ailleurs, à moins qu'ils ne tentent de répondre aux questions posées, nous avons autre chose à faire que de jouer avec eux

suite....

Les lecteurs-blogueurs Kapo sont priés d'aller faire le ménage dans les bureaux de la REDACTION.MERCI

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