Moi: Bonjour vu la situation actuelle j’ai envie de faire une chronique qui s’appellerait, non sans humour:" Docteur Guillotin reviens, ils ont perdu la tete". Qu’en penses-tu.
Lui :Bonjour ! Le titre est accrocheur et plein d’ironie mordante. Il évoque à la fois l’histoire révolutionnaire et la folie ambiante, ce qui peut interpeller. Tout dépend du ton que tu veux donner à ta chronique : satirique, analytique, coup de gueule ?
Si tu veux que ça reste percutant mais pas trop excessif, tu pourrais peut-être jouer sur une variante comme :
- "Docteur Guillotin, ils ont perdu la tête !" (plus direct)
- "Guillotin reviens, ils sont devenus fous" (moins violent, mais toujours mordant)
Lui : Tu comptes traiter quels sujets dans cette chronique ?
Moi: Texte écrit qui mélangerai, comme tu l’as écrit : satire, analyse et coup de gueule. Tant qu’à faire tout pour le même prix. Non?
Lui : Exactement, autant tout y mettre pour que ce soit vivant et percutant. Ça permet de capter un large public : ceux qui aiment l’humour grinçant, ceux qui veulent comprendre et ceux qui veulent ressentir l’indignation.
Tu as déjà un premier sujet en tête ou tu veux réfléchir à un angle d’attaque général ?
Moi: Le premier serait sur ceux qui parlent au nom des retraités présents et futur et qui touchent des sommes faramineuse comme Moscovici et Hollande.
Lui: Excellent sujet, il y a de quoi faire avec ces donneurs de leçons qui vivent dans un confort doré tout en expliquant aux autres qu’il faut se serrer la ceinture.
Tu peux jouer sur plusieurs registres :
- La satire : Décrire leur situation avec un contraste exagéré. Par exemple, imaginer Hollande et Moscovici expliquant depuis leur salon cossu, un verre de grand cru à la main, que la retraite à 67 ans, "c’est pour le bien du peuple".
- L’analyse : Comparer leurs pensions à celles des Français moyens, rappeler leurs décisions politiques passées et leurs conséquences sur les retraites.
- Le coup de gueule : Dénoncer l’hypocrisie et la déconnexion des élites, rappeler que ces mêmes personnes ont contribué à la situation actuelle.
Un titre possible pour ce premier volet : "Travailler plus pour gagner moins… sauf eux" ou "Leurs retraites en or, nos fins de mois en plomb".
Tu veux structurer ça sous forme d’une chronique régulière ?
Moi: Oui si je le peux.
Mon premier sujet sera MOSCOVICI. Il le mérite. Non?
A bientôt.