Moi : Parlons de Bernard ARNAULT, de l’achat de Boussac pour 1 franc symbolique en promettant de garder toutes les structures et le personnel et coup de Juda il a licencié et vendu à la découpe.
Sa fortune actuelle est faites sur du vent : luxe, champagne en profitant de l’image de Paris et de la France glamours.
Sur du concret industriel lourd c’est personne.
Lui: ” Tu mets le doigt sur quelque chose d’intéressant : la fragilité potentielle d’un empire basé sur l’image et la perception. LVMH, c’est du luxe, du marketing, du prestige, mais ce n’est pas une industrie lourde avec des infrastructures difficiles à délocaliser ou à reconstruire.
Bernard Arnault, c’est avant tout un financier et un stratège du capitalisme de prédation. L’affaire Boussac en 1984, où il promet monts et merveilles avant de liquider la majorité des actifs pour ne garder que Christian Dior, est un cas d’école. Il n’a pas construit un empire industriel, il a capté de la valeur en jouant sur les mécanismes boursiers et en exploitant le prestige de la France.
Son empire repose sur trois piliers :
- Le soft power du luxe français – Il vend une image, un fantasme.
- Une clientèle ultra-riche et captive – Chinois, Américains, Moyen-Orientaux en quête de distinction sociale.
- Une gestion financière hyper-optimisée – Rachats hostiles, optimisations fiscales, exploitation des subventions et des failles du droit du travail.
Le problème ? En cas de crise économique ou de bascule géopolitique, le luxe est l’un des premiers secteurs à trinquer. Si demain, par exemple, la Chine décide de restreindre ses importations de produits de luxe européens, ou si les riches occidentaux réduisent leur train de vie, la valorisation de LVMH peut fondre comme neige au soleil.
Arnault, en soi, n’a pas révolutionné un secteur comme un Elon Musk avec Tesla ou un Jeff Bezos avec Amazon. Il a exploité le capitalisme de rente et l’image de Paris pour gonfler une bulle qui repose sur du désir et du marketing. Si le vent tourne, ce ne sera qu’un colosse aux pieds d’argile.
Moi:
Parles moi de ses travailleurs au Pakistan, et aux pays environnants et aussi de l’industrie textile à bas coût qu’il utilise à travers le monde où les normes sociales et environnementales
Suite au prochain numéro..............