L'action du réseau social a terminé sa première journée de cotation sur une hausse de 0,61%. Morgan Stanley et les autres banques conseil de la société ont maintenu le cours en fin de séance pour éviter qu'il ne repasse sous le prix d'introduction.
Jusqu'au bout les banques conseil de Facebook ont défendu le seuil des 38 dollars, pour éviter à l'action du réseau social de clôturer sous son prix d'introduction. Un seuil symbolique pour l'entrée en Bourse (IPO) la plus médiatisée de l'histoire. Pendant de longues minutes, peu avant la fin des échanges, le titre est ainsi resté scotché à 38,00 dollars, sans jamais passer sous cette barre, avant de terminer sur une hausse de 0,61%, à 38,23 dollars.
Selon plusieurs intervenants de marchés, les banques conseil, et plus particulièrement Morgan Stanley et JPMorgan, ont été à la manoeuvre en fin de séance pour soutenir le cours. Tout comme elles l'avaient été à peine 20 minutes après la première cotation, à 11h30, heure de New York, lorsque l'action avait déjà touché les 38 dollars. Elles permettent ainsi à la société de Mark Zuckerberg de sauver la face. En attendant la séance de lundi, qui pourrait à nouveau être bien délicate.
L'Espagne veut criminaliser l'organisation en ligne de la protestation sociale
C'est la raison pour laquelle Goldman Sachs-Bilderbergachète tous les réseaux sociaux..et que Google fiche les rues du monde entier et enregistrent des milliards d'informations, pour alimenter le futur fichier géant de la NSA..
Big Brother : La NSA construit le plus grand grand centre d'écoutes et s'espionnage mondial illégal dans le désert américain !
Une cour d'appel fédérale a confirmé vendredi la décision de la National Security Agency à retenir les documents publics confirmer ou de nier toute relation qu'elle entretient avec Google concernant le chiffrement et la cybersécurité.
http://www.wired.com/threatlevel/2012/05/google-nsa-secrecy-upheld/
A federal appeals court on Friday upheld the National Security Agency’s decision to withhold from the public documents confirming or denying any relationship it has with Google concerning encryption and cybersecurity.
That’s despite the fact that Google itself admitted it turned to “U.S. authorities,” which obviously includes the NSA, after the search giant’s Chinese operation was deeply hacked. Former NSA chief Mike McConnell told the Washington Post that collaboration between the NSA and private companies like Google was “inevitable.”
The Electronic Privacy Information Center, invoking the Freedom of Information Act, had sought such documents following the January 2010 cyberattack on Google that targeted the Gmail accounts of Chinese human rights activists. The attack was among the considerations that prompted Google to consider abandoning China, and Google announced that it was “working with the relevant U.S. authorities.”
The Wall Street Journal and the Washington Post followed up, saying Google had contacted the NSA following the attack.
EPIC sought documents seeking to know what type of collaboration there was between Google and the NSA and, among other things, records of communication between the NSA and Google concerning Google’s e-mail service Gmail.
In response, the NSA invoked a so-called “Glomar” response, in which the agency neither confirmed nor denied the existence of records on the topic at all. EPIC sued and lost in the lower courts.
On appeal, the U.S. Circuit Court of Appeals for the District of Columbia Circuit sided with the NSA’s conclusion that admitting the existence of relevant documents would harm national security (.pdf).
Judge Janice Rogers Brown, in a 3-0 opinion, sided with the government’s contention that acknowledging any records “might reveal whether the NSA investigated the threat,” or “deemed the threat a concern to the security of the U.S. government.”
If we removed all the legalese, the appellate court upheld the government’s often-said contention that, “if we told you, we’d have to kill you.”
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Constitution de d'un syndicat electronique pour défendre nos droit
Le G6 s'en prend à la protection des données personnelles
Les ministres européens de l'Intérieur membres du G6 ont déclaré vendredi qu'ils ne voulaient pas que les projets de directives européennes sur la protection des données entravent les enquêtes ou les échanges d'informations avec les services de renseignement étrangers. "Nous étions d'accord pour dire à la Commission (européenne) que ces directives sur la protection des données privées ne doivent en aucun cas entraver les communications avec les États-Unis", a déclaré le ministre allemand de l'Intérieur, Hans-Peter Friderich, au terme d'entretiens avec ses homologues français, britannique, espagnol, italien, polonais et américain, vendredi à Munich (sud de l'Allemagne).
La Secrétaire américaine à la Sécurité du territoire, Janet Napolitano, et le ministre américain de la Justice, Eric Holder, se sont joints vendredi après-midi au G6, après une matinée de discussion entre Européens. Hans-Peter Friedrich a remercié les États-Unis "qui ont régulièrement fourni des informations importantes" aux Européens, notamment dans la lutte contre le terrorisme. Le ministre allemand a reconnu l'importance pour l'UE d'avoir "au sein du marché commun européen un cadre réglementaire unifié sur la protection des données". Mais les directives ne doivent pas mener, dans le cadre policier et judiciaire "à empêcher ou influencer le travail effectif des forces de l'ordre ou de la justice". "Et surtout, ces directives ne doivent pas remettre en cause les traités existants" de coopération dans le renseignement "avec les États-Unis ou avec d'autres partenaires dans le monde", a-t-il déclaré.
La commissaire à la Justice Viviane Reding avait présenté fin janvier un projet d'harmonisation des règles européennes et de renforcement du rôle des autorités nationales de protection des données. Mais ces directives visait surtout les opérateurs privés, commes les grands groupes de l'internet, mais ne s'appliquaient pas aux institutions européennes elles-même.