Selon le Canard enchaîné du 12/12/12, Jérôme Cahuzac, est membre du Cercle de l'Union interalliée et du Siècle,
Henri Proglio, ( dont le frère jumeau est banquier) est l'ami de Jérôme Cahuzac. Il aurait "bombardé", son frère Antoine, à la direction d' EDF.
Le Canard parle t-il d'EDF Energie Nouvelles (écologie) ?
EDF EN : les deux patrons s'en vont, un banquier aux commandes
"Autre départ, celui du directeur général d'EDF EN, David Corchia, un ancien de BNP et de JP Morgan qui était arrivé chez EDF EN en 2004. A sa place, EDF a choisi un autre banquier : Antoine Cahuzac, 57 ans, jusqu'ici président du directoire de HSBC Private Bank France, banque qui s'intéresse depuis longtemps à l'environnement."
Jean-Vincent Vincent Placé ancien membre du Parti radical de gauche... est Président de Naturparif .
Naturparif a-telle des liens avec EDF Energies nouvelles ?
Suez, Veolia et EDF sont dans le Conseil d'administration de Naturparif.
http://www.natureparif.fr/attachments/agence/clubdesentreprises-Natureparif.pdf
Quel est le montant du salaire d'Antoine Cahuzac, ancien banquier d'HSBC ( ancien de Vinci et d'EDF ).
La liste des évadés fiscaux d'HSBC en Suisse aurait été falsifiée
HSBC, Woerth, Estrosi... Les vérités du procureur Montgolfier
Secret bancaire :L’homme qui valait des milliards
Blanchiment: HSBC échappe aux poursuites américaines par une amende record
HSBC: le crime paye-t-il? | Pertes et Profits
GDF Suez: HSBC dégrade sa recommandation.
Le mêmes salaire qu'Henri Proglio chez EDF et Véolia, ou le même salaire qu'il percevait chez HSBC ?
Antoine Cahuzac : super-riche soumis au super-impot Hollande ...
Les secrets inavouables de la caste
Salaire: Proglio gagne 13 places dans le classement des patrons
Affaire Alexandre Guérini : comment 20 millions d'euros de l’argent de Veolia a été exfiltré
Je suis né à Saint-Laurent du Var, et mes parents étaient épiciers à Antibes. C’est là que j’ai également appris qu’un sou est un sou, en bossant à la boutique pendant les vacances scolaires. Après j’ai fait HEC, c’est là que j’ai appris qu’un milliard est un milliard, donc rien du tout, à l’épicerie, j’avais déjà tout compris. En revanche, ça m’a permis de commencer à me faire un carnet d’adresses, même promo que DSK, pour lequel j’ai témoigné favorablement dans l’affaire de la MNEF.
.. Pour mon service militaire, j’ai demandé à être affecté dans un service secret (eh oui !) de la Marine. Pas de problème, vu que j’étais présentable politiquement, pas un de ces gauchistes. A cette époque-là, je fréquentais l’extrême-droite au sein du groupe Occident, d’où viennent les très respectables Longuet, Madelin, et Devedjian...On m’a reproché aussi d’avoir côtoyé Mégret, Blot et Le Gallou.Côté bizness, la règle d’or d’un contrat, c’est : les investissements à la charge des collectivités et des abonnés, le bénéf’ pour nous ! En PACA, on a fait parmi nos plus beaux coups, comme à Toulon avec Arreckx et Nice avec Médecin. Par exemple, pour réparer le canal de la Vésubie, on a « avancé » le coût des travaux. Au total, on a sorti 374 millions de francs, mais on en a empoché 868 grâce à une taxe sur le m3. Sans compter une surfacturation annuelle estimée à 200 millions d’euros. Merci les abonnés ! De Médecin à Peyrat, personne n’a moufté. Pareil à Toulon, qui est restée Veolia Ville d’Arreckx à Falco (6). Mais l’eau, depuis la loi Sapin sur les marchés publics, c’est plus ce que c’était. Donc, je mise un maximum sur la Chine, où l’on se croirait au bon vieux temps. Un pouvoir dictatorial et ultra-libéral qui se contrefout de la transparence, le paradis des affaires... et puis bientôt 1 milliard et demi d’abonnés ! Là où on continue à faire du gras en France, c’est avec les transports et les déchets. Toujours fidèles à nos principes - nationalisation des pertes, privatisation des bénéfices - on laisse les collectivités financer les infrastructures et puis nous on relève les compteurs derrière, comme pour le tramway à Marseille qui va être co-exploité par la RTM et notre filiale transport, la Connex. Là encore, le réseau, toujours le réseau.
Proglio & Proglio : petites affaires en famille
On connaissait Henri, le puissant patron d'EDF. On connaît moins son jumeau, René, banquier aussi discret qu'influent. L'inséparable duo est impliqué dans un scandale politico-financier en Allemagne.
Les "fantastiques jumeaux"
Après la victoire de François Hollande, le petit milieu des affaires ne donnait pas cher de sa peau. Aujourd'hui, il est toujours à la tête d'EDF, multipliant les signes de bonne volonté envers le nouveau pouvoir, mobilisant ses puissants réseaux à droite comme à gauche, de Claude Guéant à Jean-Marc Ayrault, espérant se maintenir ou au moins rebondir. Priant surtout pour que rien ne filtre d'un scandale politico-financier qui agite l'Allemagne ces dernières semaines et jette une lumière crue sur le tandem professionnel des "fantastiques jumeaux", comme dit le quotidien allemand "Handelsblatt". Le scandale porte sur la vente, fin 2010, des 45% qu'EDF détenait dans le troisième électricien allemand, EnBW (Energie Baden-Württemberg), aux côtés de l'autre grand actionnaire, le Land de Bade-Wurtemberg.
Une affaire qui pourrait déstabiliser Henri"
Jusqu'à présent, en France, seuls quelques initiés dans les cercles du pouvoir ont eu vent de cette histoire. Et, à EDF, tout a été géré dans la plus grande discrétion. Début septembre, une réunion de crise s'est tenue au siège "pour parler de l'Allemagne", comme on dit en interne. "Une affaire qui pourrait déstabiliser Henri", s'est inquiété l'un de ses communicants, effrayé à l'idée que leurs adversaires sautent sur cette occasion pour réclamer à nouveau la tête d'Henri Proglio.
La semaine dernière, il a accepté de recevoir "le Nouvel Observateur" dans son bureau grand comme un trois-pièces et orné de trois lithographies de Raoul Dufy ("la Fée Electricité"). "La vente d'EnBW est d'une grande banalité. Elle s'est effectuée dans des conditions parfaitement normales", assène-t-il en manipulant nerveusement l'un des trois téléphones portables alignés devant lui. Ce n'est pas l'avis de la cour régionale des comptes du Bade-Wurtemberg, qui a émis des critiques sévères sur cette opération et sur le rôle joué par la banque choisie par le Land, Morgan Stanley, et en particulier par le président de sa filiale française... un certain René Proglio. […]
Antoine Cahuzac, 57 ans, diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole de la météorologie nationale.
Après un premier poste d’ingénieur au Ministère des Transports, il intègre en 1982 la Direction des Etudes et Recherches d’EDF.
En 1985, il rejoint le service des swaps du Crédit Commercial de France (CCF) dont il prend la direction en 1988. Apres un passage
de trois ans chez Vinci où il était chargé de mission auprès du Directeur General de la société, il revient au CCF en 1994 où il
occupe successivement différentes fonctions au sein de la Banque d’Investissement du CCF puis d’HSBC à compter de 2000.
Depuis Mai 2011, il est responsable des activités de Banque privée d’HSBC en France. Il est également membre du comité de
direction d’HSBC France depuis de nombreuses années.