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Billet de blog 15 juillet 2023

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Nous sommes dans un monde où les passerelles n’existent pas.

Les ponts et chaussées ni pourront rien, l’homme intangible ne le permet pas.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Garder son acquis est un principe de précaution d’une existence limitée dans le temps terrestre pour la plus grande des majorités dominantes essaimées aux latitudes. Minorer a l’excès les raisons des colères est gage de pouvoir, de captation de l’un sur l’autre. Remake incessant de Hobbes à l’infini, du capital patrimoine sur les richesses du partage.

Les événements récents confirment cette déréliction sociétale du politiquement ancré dans le super-profit où personne n’est le mousquetaire de personne, où chacun se conforte dans sa propre existence matérialiste, miroir déformant de nous même, meme buzz parodique.

La nostalgie des années 1980 est une figure de proue du déni collectif. Pas de place pour la radicalité que la situation devrait nous imposer, place aux « philosophes »du grand n’importe quoi, de l’illibéralisme de masse, de l’égoécologie grennbashing grand patronat sur écran QHD lisse et sans reproche, du qui sème dans le désert peut récolter, de la glorification de l’image selfie, de quelques footballeurs aux pieds divins, des réussites entrepreneuriales aux CA accumulateurs de 0 sur les comptes, aux Fakes en tout genre, aux trolls IA …

Chacun de nous pourtant, devrions nous retourner dans nos urnes sur une tombe qui nous tend les bras. Les signes de notre destin s’accumulent à la vitesse du dégel du permafrost. Les émeutes ou révoltes quand bien même il s’agit de les nommer, pourraient être une catharsis, un début de construction d’une rive à l’autre.

Que nenni!

On préfère criminaliser les actions des soulèvements citoyens de « bonnes mères et bons pères de famille » et de jeunes les yeux grands ouverts sur l’effondrement potentiel, criminaliser pénalement les mineurs de 16 ans, Ciotiser la sottise politique comme une règle à l’effigie fascisante d’un guide, monnayer la vie à la platitude des sentiments, à l’empathie degré zéro, exit les tueurs aux cagnottes Messihaesques.

En déficit de conscience, nous craignions de perdre nos AAA au lieu de les creuser pour répondre à l’urgence climatique et sociale. Nous nous victimisons des pauvres; des réfugiés; des étrangers comme la convocation de la cour de récréation de nos instincts primaires/grégaires. « Ce n’est pas moi c’est l’autre. », redevient la devise au frontispice de nos croyances que nous gravons dans le marbre, du qui fait chic fait juste, justificatif sans le love du peace, lover sur nos chiliennes auprès de nos piscines climatisées.

Personne n’y échappe, personne ou si peu , face a nos contradictions carcan. Si bien que dès que nous ouvrons nos bouches pour dire, on vous renvoie à celles-ci pour vous décrédibiliser.

« Comment cela vous êtes de gauche ? Permettez moi de m’étonner d’avoir appris que vous possédiez un appartement dans le 20 eme, permettez moi encore de l’être en apprenant que vous touchez un salaire pour votre travail et que vous en faites un usage personnel, n’est ce pas en contradiction avec ce que vous représentez ? N’est ce pas mentir à ceux qui vous reconnaissent? Comment pouvez vous vivre alors que vous sortez vous même de votre propre arc républicain, dirai- je, de pensée collectiviste et communautariste ? Entre nous, soyez franc, refuseriez vous là aujourd’hui présentement, de mettre en efficience vos idées, en vous privant de votre iPhone sur lequel votre langue délaye votre continuum mensonger afin de vous mettre en conformité avec celui-ci? Non je ne le crois pas ! Nos électeurs-trices, elles et eux veulent un cap qui leur permet de se projeter et non une péninsule vaste étendue du doute à l’écart des territoires réels objectivants.

L’utopie est un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre, la balance ne peut être en déséquilibre sinon le monde tombera dans une sorte de Chaos où vos extrémismes nauséabonds feront le lit de la chienlit ».

Même petit, sur la plage avec ma pelle et mon rateau, je n’ai pas réussi à construire un circuit Tour de France pour mes figurines d’époque  : Fignon; Arroyo; Kelly et tant d’autres, avec cet enfant de la Baule les Pins qui pourrait me parler ainsi aujourd’hui.

Comment pourrions- nous évoquer une passerelle à 40 ans d’intervalle?

Notre monde est tumeur, je le crains!  Ok

What Else?

Je m’en vais de ce pas me préparer une dosette alu d’un nectar colombien.

La  planète après moi mon amour.

Gourdon Jérôme


Les événements récents confirment cette déréliction sociétale du politiquement ancré dans le super-profit où personne n’est le mousquetaire de personne, où chacun se conforte dans sa propre existence matérialiste, miroir déformant de nous même, meme buzz parodique.

La nostalgie des années 1980 est une figure de proue du déni collectif. Pas de place pour la radicalité que la situation devrait nous imposer, place aux « philosophes »

du grand n’importe quoi, de l’illibéralisme de masse, de l’égoécologie grennbashing grand patronat sur écran QHD lisse et sans reproche.

, du qui sème dans le désert peut récolter, de la glorification de l’image selfie, de quelques footballeurs aux pieds divins, des réussites entrepreneuriales aux CA accumulateurs de 0 sur les comptes, aux Fakes en tout genre, aux trolls IA …

Chacun de nous pourtant, devrions nous retourner dans nos urnes sur une tombe qui nous tend les bras. Les signes de notre destin s’accumulent à la vitesse du dégel du permafrost. Les émeutes ou révoltes quand bien même il s’agit de les nommer, pourraient être une catharsis, un début de construction d’une rive à l’autre.

Que nenni!

On préfère criminaliser les actions des soulèvements citoyens de « bonnes mères et bons pères de famille » et de jeunes les yeux grands ouverts sur l’effondrement potentiel, criminaliser pénalement les mineurs de 16 ans, Ciotiser la sottise politique comme une règle à l’effigie fascisante d’un guide, monnayer la vie à la platitude des sentiments, à l’empathie degré zéro, exit les tueurs aux cagnottes Messihaesques.

En déficit de conscience, nous craignions de perdre nos AAA au lieu de les creuser pour répondre à l’urgence climatique et sociale. Nous nous victimisons des pauvres; des réfugiés; des étrangers comme la convocation de la cour de récréation de nos instincts primaires/grégaires. « Ce n’est pas moi c’est l’autre. », redevient la devise au frontispice de nos croyances que nous gravons dans le marbre, du qui fait chic fait juste, justificatif sans le love du peace, lover sur nos chiliennes auprès de nos piscines climatisées.

Personne n’y échappe, personne ou si peu , face a nos contradictions carcan. Si bien que dès que nous ouvrons nos bouches pour dire, on vous renvoie à celles-ci pour vous décrédibiliser.

« Comment cela vous êtes de gauche ? Permettez moi de m’étonner d’avoir appris que vous possédiez un appartement dans le 20 eme, permettez moi encore de l’être en apprenant que vous touchez un salaire pour votre travail et que vous en faites un usage personnel, n’est ce pas en contradiction avec ce que vous représentez ? N’est ce pas mentir à ceux qui vous reconnaissent? Comment pouvez vous vivre alors que vous sortez vous même de votre propre arc républicain, dirai- je, de pensée collectiviste et communautariste ? Entre nous, soyez franc, refuseriez vous là aujourd’hui présentement, de mettre en efficience vos idées, en vous privant de votre iPhone sur lequel votre langue délaye votre continuum mensonger afin de vous mettre en conformité avec celui-ci? Non je ne le crois pas ! Nos électeurs-trices, elles et eux veulent un cap qui leur permet de se projeter et non une péninsule vaste étendue du doute à l’écart des territoires réels objectivants.

L’utopie est un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre, la balance ne peut être en déséquilibre sinon le monde tombera dans une sorte de Chaos où vos extrémismes nauséabonds feront le lit de la chienlit ».

Même petit, sur la plage avec ma pelle et mon rateau, je n’ai pas réussi à construire un circuit Tour de France pour mes figurines d’époque  : Fignon; Arroyo; Kelly et tant d’autres, avec cet enfant de la Baule les Pins qui pourrait me parler ainsi aujourd’hui.

Comment pourrions- nous évoquer une passerelle à 40 ans d’intervalle?

Notre monde est tumeur, je le crains!  Ok

What Else?

Je m’en vais de ce pas me préparer une dosette alu d’un nectar colombien.

La  planète après moi mon amour.

Gourdon Jérôme

Les événements récents confirment cette déréliction sociétale du politiquement ancré dans le super-profit où personne n’est le mousquetaire de personne, où chacun se conforte dans sa propre existence matérialiste, miroir déformant de nous même, meme buzz parodique.

La nostalgie des années 1980 est une figure de proue du déni collectif. Pas de place pour la radicalité que la situation devrait nous imposer, place aux « philosophes »

du grand n’importe quoi, de l’illibéralisme de masse, de l’égoécologie grennbashing grand patronat sur écran QHD lisse et sans reproche.

, du qui sème dans le désert peut récolter, de la glorification de l’image selfie, de quelques footballeurs aux pieds divins, des réussites entrepreneuriales aux CA accumulateurs de 0 sur les comptes, aux Fakes en tout genre, aux trolls IA …

Chacun de nous pourtant, devrions nous retourner dans nos urnes sur une tombe qui nous tend les bras. Les signes de notre destin s’accumulent à la vitesse du dégel du permafrost. Les émeutes ou révoltes quand bien même il s’agit de les nommer, pourraient être une catharsis, un début de construction d’une rive à l’autre.

Que nenni!

On préfère criminaliser les actions des soulèvements citoyens de « bonnes mères et bons pères de famille » et de jeunes les yeux grands ouverts sur l’effondrement potentiel, criminaliser pénalement les mineurs de 16 ans, Ciotiser la sottise politique comme une règle à l’effigie fascisante d’un guide, monnayer la vie à la platitude des sentiments, à l’empathie degré zéro, exit les tueurs aux cagnottes Messihaesques.

En déficit de conscience, nous craignions de perdre nos AAA au lieu de les creuser pour répondre à l’urgence climatique et sociale. Nous nous victimisons des pauvres; des réfugiés; des étrangers comme la convocation de la cour de récréation de nos instincts primaires/grégaires. « Ce n’est pas moi c’est l’autre. », redevient la devise au frontispice de nos croyances que nous gravons dans le marbre, du qui fait chic fait juste, justificatif sans le love du peace, lover sur nos chiliennes auprès de nos piscines climatisées.

Personne n’y échappe, personne ou si peu , face a nos contradictions carcan. Si bien que dès que nous ouvrons nos bouches pour dire, on vous renvoie à celles-ci pour vous décrédibiliser.

« Comment cela vous êtes de gauche ? Permettez moi de m’étonner d’avoir appris que vous possédiez un appartement dans le 20 eme, permettez moi encore de l’être en apprenant que vous touchez un salaire pour votre travail et que vous en faites un usage personnel, n’est ce pas en contradiction avec ce que vous représentez ? N’est ce pas mentir à ceux qui vous reconnaissent? Comment pouvez vous vivre alors que vous sortez vous même de votre propre arc républicain, dirai- je, de pensée collectiviste et communautariste ? Entre nous, soyez franc, refuseriez vous là aujourd’hui présentement, de mettre en efficience vos idées, en vous privant de votre iPhone sur lequel votre langue délaye votre continuum mensonger afin de vous mettre en conformité avec celui-ci? Non je ne le crois pas ! Nos électeurs-trices, elles et eux veulent un cap qui leur permet de se projeter et non une péninsule vaste étendue du doute à l’écart des territoires réels objectivants.

L’utopie est un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre, la balance ne peut être en déséquilibre sinon le monde tombera dans une sorte de Chaos où vos extrémismes nauséabonds feront le lit de la chienlit ».

Même petit, sur la plage avec ma pelle et mon rateau, je n’ai pas réussi à construire un circuit Tour de France pour mes figurines d’époque  : Fignon; Arroyo; Kelly et tant d’autres, avec cet enfant de la Baule les Pins qui pourrait me parler ainsi aujourd’hui.

Comment pourrions- nous évoquer une passerelle à 40 ans d’intervalle?

Notre monde est tumeur, je le crains!  Ok

What Else?

Je m’en vais de ce pas me préparer une dosette alu d’un nectar colombien.

La  planète après moi mon amour.

Gourdon Jérôme

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.