je rejoins le point de vue sur une société sans industrie qui n'existerai pas, cependant l'industrie telle que nous l'avons vécue est morte, la limite des thèories d'économie d'echelle.
la limite des ressources, pour combattre le dumping social et environnemental, pour relocaliser, il va falloir créer de nouvelles sociétés plus proche des entreprises de recyclage, des agriculteurs locaux et non des grandes exploitations. Du logement plus grand dans les villes et plus verticale, plus mixte, plus intégré plus économe et plus auto-gérer par quartier.
des maisons isolées, des circuits de production court, de l'énergie à la consommation. des transports en commun vraiment gérés. un changement de statut des banques...une semaine de travail différente, d'ailleurs j'avais émis le souhait de changer le rythme du mois, et que la semaine n'existe plus, comme cela plus de dimanche plus de vendredi ni de samedi et by by les fêtes religieuses, du repos oui des traditions pourquoi pas, mais du communautarisme qui a chaque fois sépare, cest redondant et c'est lourd. Par contre vous vous trompez sur la vision des professeurs, complètement vous n'avez jamais travaillé avec desenfants, votre discours suinte le stéréotype de ce côté là, si il y eut une période ou les profs était en laisser aller c'est du aux moyens et à la baisse de motivation. Votre thèorie des nouveaux marchés n'existe pas elle est un aléas de la société de consommation, ce qu'on appelle une illusion salutaire. Le but? vraiment se connaitre, revivre ensemble, partager, pas dans cet optique utopiste communiste mais dans le vrai vivre ensemble dans une société et partager des valeurs. La droite n'a pas sa place en France car elle n'aime pas le partage de valeurs quelle trouve désuettes, alors qu'elle parte qu'elle aille divaguer ailleurs.
Billet de blog 3 février 2012
le dessein d'une autre société
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