Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
un chemin de roses est souvent bordé d'épines... C.P. : _mieux vaut un chemin de roses bordé d'épines qu'un chemin d'enfer pavé de bonnes intentions D.O. : _pour le vivre quotidiennement, pas un chemin n'est tranquille même lorsque l'on a la force. Ce qu'il faut c'est avoir conscience de sa force, et respecter celle de l'autre.
C.P. :_ le chemin par définition est un lieu de perpétuel mouvement parsemé de quelques îlots de tranquillité qu'il nous appartient de nous approprier au quotidien. Quant au mouvement le jeu consiste à le rendre aussi harmonieux que possible.
D.O. : Je n'ai pas la même définition d'un chemin, il est une voie que l'on trace ou que l'on suit dont les bords peuvent servir de lieu de repos, dont les embranchements déterminent des choix qui influencent le chemin lui même, une contrainte endogène à son propre système de penser qui influence et qui se fait influencer.
Mais en suivant ton résonnement, le je qui souffre du mouvement perpétuel est subi. Hors mon chemin est celui des possibles, des horizons ouverts, l'harmonie est recherché quand les contraintes exogènes sont supportées ou que l'on suppute leur acceptation.
Le mieux serait l'ennemi du bien, mais l'acceptation d'un fatalisme est l'acceptation des contraintes et d'une fausse harmonie.
Rendre harmonieux c'est croisé les chemins de l'autre et construire la voie ensemble.
Il n'existe pas une seule voie, mais des voies. Les chemins qui mènent à l'harmonie et l'harmonie qui rend le chemin plus supportable sont différents. Rendre son mouvement harmonieux c'est accepté de ne pas avoir de l'influence sur certaines choses. Sans remettre tout en question, chaque époque prend conscience d'une harmonie différente, et celle de notre époque est dissonante. Car il existe des harmonies qui n'en sont pas. Je me demande si la moins pire des harmonies qu'est la démocratie peut avoir un son différent?
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