changement de job

Ce dimanche, j'ai enfin le temps de poser un petit bilan sur ces deux dernières années qui m'ont vu devenir un sdf du au parasitisme de certains proches et à l'appropriation de m=travaux par le triptyque FM-canal +- PS. On est ce pendant loin du cliché du paranoiaque.
  Restons dans l'histoire proche.
 Alors que l'Europe s'écroulait sur ses bases démocratiques depuis plusieurs décennies par la voie politique, sa gangrène continait par la voie du peuple et par l'économie.
 Petit Homme courageux et indiscipliné, je m'imaginais réussir à me sortir de ma galère en créant une société à partir de rien.
 Tout le défi consistait à savoir comment  et avec quoi j'allais pouvoir gagner ou créer de la richesse, ce flux que tant de personnes convoitent sans savoir vraiment ce qu'il signifie.
 J'avais tenté une entreprise de journalisme sur internet, en commençant par un blog, échec du au manque de temps et de moyens.
  Je suis rentré dnas ma région natale, une erreur sans doute qui m'a permis de voir à quel point je n'avais pas vraiment loupé ma vie.
  J'ai pu remarqué la dégradation sociale à l'extérieur tant à l'intérieur des différentes couches sociales. ( chez les journalistes aussi, le temps, la rédaction, les sujets traités par les canards locaux ).
  J'ai pris un statut d'auto-entrepreneur qui me permettait de faire à peut près tout ce que l'on veut, et heureusement, dans un pays devenu trop normé sectaire et segrégaionniste, la nouveauté et les initiatives sont très mal vues.
  Rien de révolutionnaire dans le travail accompli, il fallait que je trouve assez d'énergie et d'argent, j'ai donc commencé sur les marchés à vendre du cidre des gâteaux et du calvados. Du matin jusqu'au soir, et mon calvados arrangé ( je tente d'en faire une marque à la manière d'un capitaliste chevronné ). Le travail engendré m'empêcha d'écrire et de ne pas devenir fou jusque fin aout. Il me permis de me restructurer, même si il restait des traces dans les épreuves subi. 
  Il a fallu que je me remette à parler Allemand, anglais, français. J'ai repris contact avec la masse sociale, celle qui fai le peuple, l'Europe, même si ma façon de vendre est assez drôle, je l'expliquerai plus tard, je pense m'en être plutôt bien sorti.
Du matin, jusqu'au soir. J'ai fait crève coeur, j'ai fait ce que j'ai pu.
DO