Gabrielle Teissier K (avatar)

Gabrielle Teissier K

Citoyenne, du monde, de gauche, athée, en résistance contre tous les racismes

Abonné·e de Mediapart

3084 Billets

0 Édition

Billet de blog 14 juillet 2010

Gabrielle Teissier K (avatar)

Gabrielle Teissier K

Citoyenne, du monde, de gauche, athée, en résistance contre tous les racismes

Abonné·e de Mediapart

Fête du 28 mai 2010

Gabrielle Teissier K (avatar)

Gabrielle Teissier K

Citoyenne, du monde, de gauche, athée, en résistance contre tous les racismes

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Qu’est-ce qu’on fête le 14 juillet ? On fête la première fête de la Fédération, un an après la prise de la Bastille. Le 14 juillet c’est la fête du peuple, et la fête de la réconciliation et de l’unité de tous les Français. Enfin ça c’était en 1790.

Cette année est un peu spéciale. A en croire la Ligue des Droits de l’homme :

« 14 juillet 2010 : la fête nationale française, fête de l’impunité ?

Lettre ouverte au président Français, Monsieur Nicolas Sarkozy
par
Souhayr Belhassen, Présidente de la FIDH
Jean-Pierre Dubois, président de la LDH
Sidiki Kaba et Patrick Baudouin, présidents d’Honneur de la FIDH
Michel Tubiana et Henri Leclerc, présidents d’Honneur de la LDH

Extrait

« La France ne peut, dans le même temps, annoncer devant les États parties réunis à la conférence de révision du statut de la CPI à Kampala qu’aucun territoire ne doit être un sanctuaire de l’impunité ; et par ailleurs inviter des personnes accusées de graves violations des droits de l’Homme aux festivités du 14 juillet ; et ajouter à cette complaisance un projet de loi rendant quasi-impossible leur poursuite devant des tribunaux français pour les crimes internationaux les plus graves. »

Alors on va dire qu’on va fêter le 28 mai 2010, la date à laquelle le Conseil Constitutionnel a décidé d’aligner les pensions des combattants pour la France étrangers, sur ceux des combattants français.

« Dans une décision rendue le 28 mai, le Conseil constitutionnel avait estimé non contraire au principe d'égalité que les pensions soient différentes, selon que l'ancien combattant réside en France ou à l'étranger. Mais, répondant pour la première fois à une "question prioritaire de constitutionnalité" (QPC), les "Sages" avaient alors censuré des dispositions législatives qui réservaient un sort différent aux bénéficiaires français et étrangers qui résident à l'étranger. »

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.