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« Nidal est germano-palestinien. Il a quitté Gaza à l’âge de 4 ans et n'a revu ni ses parents, ni ses dix frères et sœurs depuis. L’absence de sa famille restée à Gaza le hante...
Ancien reporter, Nidal s’est construit une existence paisible à Berlin, où il tient un café. Mais l’absence de sa famille restée à Gaza le hante et alors que la situation entre Israël et Gaza empire, il décide de vendre son café et de retourner dans sa ville natale. » ARTE
ou à Berlin

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Un beau documentaire qui démontre bien que Gaza est une prison à ciel ouvert...
Un bémol tout de même. Quand le narrateur prétend que « D’un côté comme de l’autre la méfiance est de mise. Les deux camps restent inflexibles. »
Ethique journaliste poussée à l’extrême ? Peut-être. Volonté de ne pas aggraver le cas des pouvoirs israéliens, plus sûrement. Donc, parti pris. Dommage... En Israël, parano à tous les étages.
Depuis tout petit, Nidal Bulbul rêvait d’ouvrir un café. A Gaza, c’est impossible. Alors il en a ouvert un à Berlin. Le café Bulbul. Bulbul, signifie rossignol.
Vive la Palestine libérée. Merci Nidal Bulbul.