« La perversion (ou perversité) désigne, dans un sens général, l'inclination à faire le mal, mais aussi plus largement des intentions et des conduites déviantes par rapport aux normes morales d'une société. Il est issu du verbe « pervertir », qui signifie littéralement « détourner », d'après l'étymologie latine pervertere : « mettre sens dessus-dessous » peut-on lire sur Wikipedia.
Sens dessus-dessous c’est l’état de notre pays et c’est l’état dans lequel sont de nombreux citoyens qui ont le sentiment qu’ils ne comprennent plus rien, qu’ils ne maîtrisent plus rien. Ca a commencé dès l’élection quand ont été embauchés des (soi- disant) ministres de gauche ( !) et ça n’a pas arrêté depuis. Le chaos dans lequel s’enfonce notre pays est le résultat d’une gouvernance perverse qui brouille toutes les cartes, froidement et avec préméditation, et qui tente de démonter le mental des gens pour les assujettir en espérant que lorsqu’ils seront bien mûrs, il suffira de cueillir leurs voix qui tomberont comme une récompense et une marque de confiance comme elles l’ont fait en 2007, en signe d’espérance.
Deux preuves s’il en faut encore.
Un article sur la Libye et son Conseil national de transition, et une remise en mémoire.
Et un article concernant une invitation à déjeuner (que, soit dit en passant M Philips, l’invité aurait pu refuser. Je sais, certains diront qu’on ne refuse pas une telle invitation. D’autres y sont allés avant lui.)
Si ces procédés ne sont pas pervers va falloir qu’on m’explique.
Heureusement que la gauche, toute la gauche veille et au lieu de se déchirer pour des rivalités, montre sa capacité à se rassembler, en signe de grande fraternité, et dénonce à qui veut l’entendre, toutes ces insanités.