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Billet de blog 30 janvier 2014

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La gauche outai, la gauche outai ?

Pas dans la rue en tous les cas.Dans la rue y’a les fachos, les casseurs de la démocratie, les ultras, les racistes.Alors la gauche, outai, outai ?Qu’est-ce qu’on attend pour soutenir ce gouvernement ?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Pas dans la rue en tous les cas.

Dans la rue y’a les fachos, les casseurs de la démocratie, les ultras, les racistes.

Alors la gauche, outai, outai ?

Qu’est-ce qu’on attend pour soutenir ce gouvernement ?

Oui à l ‘égalité entre les filles et les garçons et à l’apprentissage de l’égalité et du respect pour tous, à l’école. Merci à Peillon.

Oui au mariage pour tous. Du reste c’est voté. Et ils sont nombreux à être heureux. Merci au gouvernement et à Taubira.

Le Hollande bashing ça suffit. Oui ça suffit. La critique du gouvernement pour tout, tout le temps, ça suffit.

Qu’on s’en prenne aux riches pour qu’ils rendent s’ils ont volé, oui. Il y a des lois. Elles sont en train d’être appliquées. Ca prend du temps. Merci le gouvernement. Que l’Etat récupère les 600 milliards qui lui manquent et il pourra changer de politique. Si on soutient le gouvernement, il y arrivera plus vite.

Le temps est venu de soutenir le gouvernement. A gauche. Il n’y a pas que des excités ultra gauchistes en France qui se planquent derrière leurs claviers pour déverser leur bile, en attendant le grand soir, le leur, qui n’arrivera jamais.

Il y aussi des gens normaux, de gauche, complètement de gauche, vraiment à gauche, qui n’ont pas besoin de maître à penser qui leur dit qu’ils ont le droit ou pas de manifester. Ils prennent leurs responsabilités de citoyens de gauche, là où ils sont.

Qu’est-ce qu’on attend pour organiser une manifestation immense, un ras de marée, pour dire oui à la Liberté, à l’égalité et à la fraternité, celle qui fait chaud au cœur, celle qu’on ressent quand on manifeste pour les autres qui sont dans la peine. Si les gens de gauche descendent dans la rue pour manifester, ceux qui sont à la peine se sentiront eux aussi, moins seuls. Et ça permettrait de se compter, de voir qu’on existe, que nous sommes nombreux. Moi je n’en doute pas, nous sommes nombreux…

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