Les élus ont rendu les citoyens dépendant de l'Etat, et les jérémiades contestataires, les critiques opportunes ne sont pas un plaidoyer constructif dans le contexte mathématico économique du Monde d'aujourd'hui.
Hier soir, nous avons assisté à un brouhaha consternant qui ne présage rien de bon pour les citoyens moyens.Nous ne sommes plus dans l'époque de la réthorique de l'espérance et des promesses mais dans l'explication d'une stratégie de compétition internationale ...pour survivre !!
Les impôts ne sont pas une réponse, mais une esquive malhonnête à la réduction drastique des dépenses publiques et en premier lieu des dépenses de fonctionnement.Les élus qui sont 4 fois plus nombreux (par habitants) qu'ailleurs-600 000- avec des privilèges honteux par les temps qui courrent, ne veulent pas payer l'addition de leurs erreurs. Ils sont majoritairement avocats, énarques, professeurs et n'ont jamais intégré l'économie réelle et entrepreneuriale. Leurs pseudo experts leur ressemblent; eux-mêmes politisés et fonctionnaires. L'embourgeoisement technobureaucratique des élus est le boulet à la patte de notre économie.
Les pathologies sociales ne doivent pas être soignées par des placebos électoralistes mais doivent s'auto éradiquer dans un moteur économique qui tourne rond. Arrêtez de plastronner !! L'heure n'est plus aux discours idéologiques et fumeux, auditez sérieusement la dépense (Price, Delattre, Accenture...), oubliez les courants partisans, réunissez-vous avec les vrais acteurs économiques (patrons, banquiers, exportateurs...). Sûrement que vous ne remplacerez plus 1 fonctionnaire sur 2, mais 0 et que vous externaliserez les services les moins efficients.
Il y a un énorme mouvement tournant à opérer dans l'Administration et les collectivités terr. Certains doivent disparaître d'autres être augmentés. Les élus de tout bord sont incapables de le concevoir et mettre en oeuvre ! Faites appel aux compétences reconnues dans les grands groupes industriels européens qui n'ont, eux, aucun problème de gestion et de stratégie.