S'il doit y avoir une alternative violente à ce que nous sommes en train de faire, elle viendra de la droite la plus dure, de l'extrème droite, elle ne viendra pas de la gauche.
C'est ainsi que Manuel Valls voit l'avenir. Il est bien placé le bougre pour faire ce diagniostique car il est le principal acteur qui est à l'oeuvre pour que ce scénario un jour se réalise.
En 2011, avec Sarkosy quelque 32000 expulsions, en 2013, avec Valls, quelque 36000 expulsions. Valls fait mieux que Sarkosy, - sans oublier les camps de Rooms détruits au bulldozer dont il tire vanité-. Le gouvernement de "gauche" agissant ainsi fait la démonstration que celui de droite, qui l'a précédé, avait raison.
Pourtant chacun sait que cette politique n'a aucune incidence sur les flux migratoires et a tout à voir avec des calculs électoraux.
Comme il n'y a aucune différence entre les politiques menées par les deux principaux partis de "gauche" et de droite, qui alterrnativement se partagent le pouvoir, il se trouve que se vérifie "l'alternative" de l'arrivée de l'extrême droite au pouvoir.
Nous ne sommes aucunement disposés à pardonner - parce qu'ils ne savent ce qu'ils font- ce gouvernement et Marine, pardon, Manuel Valls !