De tous les besogneux, les gueux, les réprouvés,
De ceux que la gentry voudrait qu'on élimine,
De tous ces survivants qui triment pour trouver
La pitance et le toit, qu'effraye la famine,
De tous ces combattants qui ne se rendront pas,
Et qui, de l'arc-en-ciel aiment les couleurs chaudes,
Rouge, orange et puis jaune, j'emboîte le pas
Pour aller batailler face aux requins qui rôdent !
Je leur dédie ce petit bijou de l'ami Georges...
C'est de 1957.
Ça finit sur une note d'espoir... sait-on jamais...