Depuis 1998 et l’élection d’Hugo Chavez à la tête du Vénézuéla, l’Amérique Latine a entamé un cycle de révolutions démocratiques qui ont balayé les derniers vestiges d'un néolibéralisme mortifère.
Dans la lignée d'un Chavez, Evo Morales sera réélu à la tête de son pays la Bolivie le 12 Octobre avec 61% des voix! Pour un troisième mandat.
Il faut dire que ce président bolivien "Ose" pour l'intérêt de son peuple et QUE pour l'intérêt de celui-ci.
Il fait partie de cette nouvelle génération d'hommes qui sont parti de rien et qui ont rapidement appris, sans avoir fait de grandes écoles, où se plaçait l'intérêt de leur peuple.
Résultat:
- Une croissance de 5,2% (la plus élevée du continent Sud Américain.
- "démocratisation" et distribution à la population pauvre de son pays d'énergie comme le gaz.
-construction de routes.
-construction d'hôpitaux...
Pour le président Evo Morales, les résultats obtenues ne pouvait se faire que par la nationalisation de l'énergie "par rachat" d'actions aux industriels.
Les grands journaux de la planète ont bien était obligés d'admettre "Evo à réussi"!
Une redistribution des richesses couplé à une forte croissance explique que le président bolivien est parvenu à réduire la pauvreté de son pays.
Un président de gauche réélu? En tenant ses promesse, et au-delà...Des nationalisations bénéfique pour tout le monde? Quelles sont les recettes?
Nos hommes de gauche devrait s'interroger...Peut-être seraient-ils mieux inspirés de ...nationaliser!...mais, que suis-je bête, ils sont dans une autre gauche, un autre monde.