En vérité au fond de mon âme, je n'est jamais été réellement attaché ou retenu par une religion. Je dirais même l'inverse: ce qui m'a poussé à m'en séparer, c'est justement le caractère rigide quelles portes toutes, et je dis bien toutes. Â la différence d'une croyance purement spirituel. Ce qui à causé ma perte social et clanique. Me voila sortie des chantiers battus. Seul. Un paradoxe? Non, un résonnement de toute une p..... de vie qui aurait du faire de moi un bon petit croyant bien sage. Ben nan...!
"Pied de nez" à la vie? Non, "pied de nez" à "ma" vie.
Me revoilà seul après ma traversé du désert. Tout les personnes qui m'entourent crie au scandale...à la folie maintenant que je ne suis plus très "accessible" , avec non pas une sensation de liberté ( la vrais liberté n'est pas accessible), mais une "possibilité" de nommer ce qui est bon et juste maintenant pour mon "moi".
Je ne pense plus comme la plèbe, d'où quelle vienne et de n'importe quelle nature qu'elle soi. "Ils" ont perdu l'un de leur plus grand militant! P......que j'en suis heureux. Le prix à payer? Mon "isolement" et ma solitude au sens propre du terme (on peux être entouré et ce sentir très seul). Une bien étrange "bonne solitude".
Il me fallait toutes mes forces pour me débarrasser de ces chaînes qui entravaient ma liberté et qui l'mpêchait d´être au monde.
Je ne remercierai jamais assez tous ceux de mon appartenance qui ont réussi à me "tuer", pour enfin revenir à la vie, une autre vie. Je ne sais toujours pas ce que veux dire la vie. Un sentiment doux qui vaut bien tout l'or du monde. Une re.naissance...peut-être l'effleurement de quelque chose de plus "large" que l'on nomme "sensation d'éternité".
Je ne crois pas en cet islam de la plèbe. Mon Islam à toujours était celui de la paix à travers tous mes combats que je considérais comme juste au delà des genres, des groupes sociaux des ethnies, des éspéces...
Et pourtant...j'intervient encore sur ce sujet épineux qu'est l'islam et non sa religion. Preuve s'il en est qu'avoir la foi ne se limite pas à croire en une religion.
mousli hazies