Pour Mohammed Arkoun, chaque grand monothéisme ce doit de nettoyer leurs propres textes sacrés de la "Mythologisation" opérée par l'histoire pour retrouver l'essence originel de chacune de ces religions, condition première à un dialogue entre communautés religieuses.
Mais l'histoire qui se vit se cristallise pour chaque communauté religieuse monothéiste en " valeurs spécifique et idéologique". Une extension abusive de la doctrine religieuse de ces trois religions à permis la "sacralisation" des États et de leurs institutions.
"Malheur, quand les sommets de la religion ne sort que religion! Elle ne libère pas, elle emprisonne, dans des conditions pires que tout ce qui peut empoisonner" disait karl Barth, théologien protestant Suisse. 1886-1968).
Toute au long de l'histoire de ces religion, c'est alors crée des consciences sédimentées, emmurées dans un ensemble de certitudes sacralisées par un lent travail de mythologisation.
Le danger est que nous vivons dans l'ère des idéologies qui ne sont en réalité que des mythologies rationalisées, où le concept de basse est remplacé par le symbole.
Dans l'islam, les Soufis disent qu'il faut retrouver l'ordre de la primauté des choses, comme "la fraîcheur première" du verbe Divin.
Il est donc essentiel au regard des dérivent et des actualités des idéologies religieuses ( FN/catholicisme, islam/nihiliste, sionisme raciste), de libérer le noyau originel des trois religions monothéistes afin d'avoir une plus grande réflexion lucide, moins aliénante et plus créative.
Mousli hazies