Ce texte se rapporte à la fable jouée par l'escargot toujours protégé par sa coquille contre les intempéries et qui a la chance de la porter toujours sur soi tout en laissant des traces de son passage sur le revêtement des sols sur lesquels il circule. Etant hermaphrodite, il ne risque pas de subir des scènes de ménage su fait de l'hostilité de sa ou de son partenaire comme on le signale de plus en plus souvent. Cette situation n'est pas parallèle à celle que vivent les habitants du bord de mer de la Vendée auxquels on a explqué un peu trop tardivement qu'ils ne seraient guère remboursés après les teempêtes d'equinoxe qui on détrruit ce qui restait de leur fragile demeure. Si bien que maintenant, ils n'ont plus comme ressource que de solliciter un hébergement chez les Roms dont l'effectif est en pleine diminution en raison de la chasse (non gardée) dont ils sont les victimes désignées. Tout ce mond du malheur et de l'infortune n'a qu'à recommencer le circuit est européen pour revenir au point d'où ils étaient partis pour trouver un point d'ancrage.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
